Jean-Pierre Chevènement était l'invité jeudi 17 octobre 2013 du 22h de Public Sénat. Il répondait aux questions de Sonia Mabrouk.
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Sur l'affaire Leonarda
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le 18 Octobre 2013 à 01:44
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Jean-Pierre Chevènement était l'invité jeudi 17 octobre de Bruce Toussaint sur I-télé.
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Sur l'affaire Leonarda
Jean-Pierre Chevènement était l'invité de 19h BFM TV mercredi 16 octobre. Il répondait aux questions de Ruth Elkrief.
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Sur l'affaire Leonarda
Jean-Pierre Chevènement était l'invité de France 5 C à dire mercredi 16 octobre 2013. Il répondait aux questions d'Axel de Tarlé.
Verbatim express:
Le marché mondial a besoin d'un état patron pour fonctionner
A l'occasion de la sortie de son livre "1914-2014 : l'Europe sortie de l'histoire ?", Jean-Pierre Chevènement était l'invité de France Info mercredi 15 octobre 2013. Il répondait aux questions d'Olivier de Lagarde.
Verbatim express
La 1ère guerre mondiale marque le début du déclin de l'Europe
Une tribune parue dans le journal Libération du 14 octobre 2013, co-signée par Jean-Pierre Chevènement, Robert Badinter, Alain Juppé et Michel Rocard.
Nous assistons à une évolution inquiétante des relations entre la société française et les sciences et techniques. Des minorités constituées autour d’un rejet de celles-ci tentent d’imposer peu à peu leur loi et d’interdire progressivement tout débat sérieux et toute expression publique des scientifiques qui ne partagent pas leurs opinions. L’impossibilité de tenir un débat public libre sur le site de stockage des déchets de la Cigéo (site souterrain de stockage des déchets hautement radioactifs proposé par l’Andra) est l’exemple le plus récent de cette atmosphère et de ces pratiques d’intimidation, qui spéculent sur la faiblesse des pouvoirs publics et des élus.
De plus en plus de scientifiques sont pris à partie personnellement s’ils osent aborder publiquement et de façon non idéologique, des questions portant sur les OGM, les ondes électromagnétiques, les nanotechnologies, le nucléaire, le gaz de schiste. Il devient difficile de recruter des étudiants dans les disciplines concernées (physique, biologie, chimie, géologie). Les organismes de recherches ont ainsi été conduits à donner une forte priorité aux études portant sur les risques, même ténus, de telle ou telle technique, mettant ainsi à mal leur potentiel de compréhension et d’innovation. Or, c’est bien la science et la technologie qui, à travers la mise au point de nouveaux procédés et dispositifs, sont de nature à améliorer les conditions de vie des hommes et de protéger l’environnement. Dépêche AFP, vendredi 04 octobre 2013, 10h30
Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a exprimé son "effarement" face à la demande d'inscription de la Corse dans la Constitution.
"J'apprends, non sans effarement, que l'Assemblée de Corse demande l'inscription du mot +Corse+ dans la Constitution", écrit l'ancien ministre dans un communiqué reçu vendredi. Le 27 septembre -une semaine avant la venue du président François Hollande dans l'île - cette assemblée avait adopté à une large majorité de 46 voix sur 51, un projet de réforme prévoyant d'accorder une place spécifique à la Corse dans la Constitution de la République. M. Chevènement évoque deux hypothèses : "soit il s'agit de faire passer des revendications inconstitutionnelles, telle la coofficialité du corse et du français pour couvrir une politique d'exclusion de l'emploi au détriment des continentaux, ou bien de geler le corps électoral à la mode calédonienne, ou bien encore de réserver l'appropriation du foncier aux autochtones, ou bien enfin de déléguer une compétence législative à la Corse".
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Communiqué de presse de Jean-Pierre Chevènement, vendredi 3 octobre 2012.
J’apprends, non sans effarement, que l’Assemblée de Corse demande l’inscription du mot « Corse » dans la Constitution.
Deux hypothèses sont à envisager : Première hypothèse, il s’agit de faire passer des revendications inconstitutionnelles, telle la coofficialité du corse et du français pour couvrir une politique d’exclusion de l’emploi au détriment des continentaux, ou bien de geler le corps électoral à la mode calédonienne, ou bien encore de réserver l’appropriation du foncier aux autochtones, ou bien enfin de déléguer une compétence législative à la Corse. Le référendum de 2003 a clairement écarté tout ce qui pouvait séparer le destin de la Corse de celui de la France. Deuxième hypothèse, certains veulent nous faire croire que l’inscription du mot « Corse » dans la Constitution n’aurait qu’une portée purement symbolique. A quoi alors rimerait-elle ? Il faut donc l’écarter. Sinon pourquoi ne pas inscrire le Territoire de Belfort dans la Constitution ?
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