Jean-Pierre Chevènement était l'invité de "Entre les lignes" sur LCP samedi 30 novembre 2013. Il répondait aux questions de Frédéric Haziza et débattait avec Alain Finkielkraut.
Verbatim express :
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vichy
le 30 Novembre 2013 à 11:28
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Commentaires (1)
A la première page du Point, la dénonciation des "néocons à la française".
Ceux-ci existent bien, mais pas là où Le Point croit les apercevoir… J'enlèverai le préfixe "néo" pour qualifier ceux qui mènent cette campagne insidieuse et dérisoire. Ceux qui ont fait prospérer Le Pen sont ceux que je combats depuis 30 ans. Mais c'est le voleur qui crie au voleur! Bel exemple de manipulation.
Mots-clés :
néo-conservateur
Jean-Pierre Chevènement était l'invité de Sud Radio dimanche 24 novembre 2013. Il répondait aux questions de Louis Morin.
Verbatim express :
Sur le sens des commémorations de la Première Guerre mondiale
Agenda et médiasEntretien de Jean-Pierre Chevènement avec Pascal Boniface, directeur de l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), le mardi 26 novembre 2013.
Pascal Boniface : Vous préconisez le passage de la monnaie unique à une monnaie commune. Comment est-ce possible ? Quels sont les avantages ?
Jean-Pierre Chevènement : D’abord ce passage à la monnaie commune doit être préparé par tous les Etats européens concernés et bien entendu par la France et l’Allemagne qui ont porté la monnaie unique sur les fonts baptismaux. Celle-ci à long terme n’est pas viable. Elle impliquerait soit des transferts internes massifs inacceptables par les pays de l’Europe du Nord, soit une paupérisation durable des pays de l’Europe du Sud également inacceptable pour eux. L’Allemagne ne soutiendra pas à perte de vue une monnaie unique frappée d’un vice congénital. Les pays qui la partagent sont trop hétérogènes. On ne peut pas fabriquer une nation à partir d’une monnaie mais seulement avec l’aval des citoyens. L’expérience montre que cela ne peut se faire que dans le temps long de l’Histoire. L’objectif serait de faire de l’euro une monnaie commune, panier de devises nationales reconstituées sous un toit européen commun, afin de corriger les écarts de compétitivité entre les différents pays en laissant fluctuer l’euro mark, l’euro franc, l’euro lire dans des marges qui pourraient être rapidement stabilisées. Les pays européens du Sud pourraient renouer avec la croissance sans obérer les finances publiques des pays du Nord. La renationalisation des dettes, largement entamée depuis 2010, rend cette opération plus facile. Bien entendu un contrôle des capitaux provisoire devrait être instauré avant le lancement d’une telle opération dont je répète qu’elle ne peut être que concertée, et d’abord entre la France et l’Allemagne. Ce compromis « gagnant-gagnant » permettra seul de sauver le projet européen en intégrant à la monnaie commune la livre et un jour le rouble. Jean-Pierre Chevènement était l'invité de "Salut les Terriens" sur Canal + samedi 23 novembre 2013. Il répondait aux questions de Thierry Ardisson.
Verbatim express :
Jean-Pierre Chevènement était l'invité de La Cité des Livres, à la Fondation Jean-Jaurès, mardi 12 novembre 2013. L'intégralité de sa conférence est disponible en vidéo ci-dessous.Dépêche AFP, mercredi 20 novembre 2013, 14h24.
Jean-Pierre Chevènement, sénateur et ancien ministre, a invité mercredi Jean-Marc Ayrault "à la prudence" sur la réforme fiscale, en prédisant qu'elle aboutirait à une augmentation des impôts "pour les classes moyennes".
"Nous avons presque deux ans de retard pour mener ce grand chantier promis par le président Hollande, qui se traduira, pour les classes moyennes, par une augmentation de la fiscalité, pour une raison très simple : la CSG (qui serait fusionnée avec l'impôt progressif sur le revenu, ndlr) n'est pas un impôt progressif", a déclaré le fondateur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), qui s'exprimait devant l'Association des journalistes parlementaires (AJP). "Ce serait globalement à prélèvements constants... On peut espérer peut-être que les gens qui ne payent pas d'impôt n'en payent pas demain. Mais tout cela est très aléatoire, on voit bien que Bercy manie très mal la calculette", a ajouté Jean-Pierre Chevènement. Aussi, a-t-il souligné, "j'incite plutôt à la prudence au point où nous en sommes actuellement, et, en tout cas, à l'étude sérieuse et approfondie de la manière dont cela va se décalquer sur la sociologie du pays". Jean-Pierre Chevènement, qui vient d'écrire un livre "1914-2014 : l'Europe sortie de l'Histoire ?" (Fayard) et qui avait fait campagne contre la ratification du traité de Maastricht notamment, a plaidé de nouveau pour "la transformation de l'euro, monnaie unique, en une monnaie commune cohabitant avec des monnaies nationales reconstituées". Selon lui, dans sa forme actuelle, "l'euro est une monnaie qui n'est pas viable et qui polarise la richesse d'un côté et la pauvreté de l'autre". Agenda et médiasJean-Pierre Chevènement était l'invité de Xerfi Canal lundi 18 novembre 2013. Il répondait aux questions de Jean-Michel Quatrepoint.
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