Une date à réserver sur vos agendas. Venez nombreux !


Rassemblement national pour un référendum sur le projet de «constitution européenne bis» dimanche 2 décembre à 15h
La ratification parlementaire du « traité simplifié » qui n’est autre qu’une Constitution européenne bis, serait un double déni de démocratie :
  • parce qu’on ferait passer nuitamment par la fenêtre ce qui a été rejeté au grand jour par la porte,
  • parce que la Constitution-bis signée à Lisbonne enterrerait définitivement, au nom du peuple français mais contre sa volonté explicite, la République française confirmée par les référendums de 1958 et 1962.

    Face à ce vrai faux « mini traité » qui est une authentique maxi-traîtrise, Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre, président d'honneur du Mouvement Républicain et Citoyen, et Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président de Debout la République organisent un rassemblement national et européen Pour un référendum sur la «Constitution européenne bis» :

    Avec :
  • Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit public
  • Jens-Peter Bonde, porte-parole du parti danois "Mouvement de juin", président du groupe Indépendance et démocratie au Parlement européen

    En un jour emblématique pour la défense de la démocratie, Nicolas Dupont-Aignan et Jean-Pierre Chevènement appelleront tous les Français à se mobiliser pour exiger une consultation populaire sur le traité de Lisbonne.

    A partir de 15h, le dimanche 2 décembre 2007, à la Maison de la Chimie
    28 bis rue Saint Dominique, Paris VIIe
    Métro Invalides (lignes 8 et 13) ou RER C.

    Voir le plan d'accès sur Google Maps ou le plan ci-dessous.

Dépêche AFP, vendredi 30 novembre, 19h26.


Chevènement pour un «recours républicain» contre le traité européen
Le président d'honneur du MRC Jean-Pierre Chevènement veut faire émerger un "recours républicain" pour exiger un référendum sur le nouveau traité européen, a-t-il déclaré vendredi, avant un meeting qu'il doit tenir dimanche à Paris avec le gaullo-souverainiste Nicolas Dupont-Aignan.
"Il est important qu'il y ait un acte de résistance" contre la ratification parlementaire décidée par Nicolas Sarkozy, et "il faut qu'un recours républicain existe", a-t-il déclaré à l'AFP.
"Nous faisons un meeting dans lequel il y a des orateurs MRC, socialistes, gaullistes. Cela permettra d'élargir l'opposition au traité de Lisbonne", a déclaré M. Chevènement.
Le président du MRC a souligné que Nicolas Dupont-Aignan avait "des positions très voisines" de celles de son parti, "y compris sur le plan social".
"Les gens de Debout la République (le mouvement de M. Dupont-Aignan) ce ne sont pas les plus à droite", a-t-il ajouté.
Pour M. Chevènement, le meeting réunira ceux qui associent les deux critiques fondamentales à la construction européenne, celles du libéralisme européen, et celles du non-respect de la "souveraineté nationale et populaire".
Le meeting associera notamment la députée européenne PS Marie-Noëlle Lienemann, l'internaute Etienne Chouard, vedette de la campagne du "Non" à la Constitution européenne sur internet en 2005, ou Pierre Lefranc, ancien chef de cabinet du général de Gaulle et figure des milieux souverainistes.

Rédigé par Chevenement.fr le 30 Novembre 2007 à 22:41 | Permalien
Le traité de Lisbonne ne passera pas comme une lettre à la poste. C’est l’objet du meeting prévu le 2 décembre à 15h00, à La Maison de la Chimie, Paris 7ème. Les républicains dénoncent le déni flagrant de la souveraineté populaire que constituerait la ratification par la voie parlementaire d’un texte rejeté par 55 % des Français. Il est possible d’y faire barrage : il suffit que 363 parlementaires, soit les deux cinquièmes du Congrès, votent contre la révision constitutionnelle préalable pour obliger à un nouveau référendum. C’est possible !

Outre Nicolas Dupont-Aignan et moi-même, s’exprimeront également à ce meeting :
  • Marie-Noëlle Liennemann, députée européenne ;
  • Pierre Lefranc, ancien chef de cabinet du Général de Gaulle ;
  • Jean-Peter Bonde, Président du groupe Indépendance et Démocratie au Parlement européen ;
  • Etienne Chouard, professeur.
  • Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit public ;

    Tous les républicains qui articulent clairement la critique sociale de la construction européenne telle qu’elle se fait et l’exigence démocratique contenue dans la souveraineté populaire et nationale sont fondés à exiger ensemble que les parlementaires qui, par respect de la démocratie, déclarent vouloir un référendum, soient placés devant leurs responsabilités. Aucune voix ne doit manquer pour rendre au Peuple les droits qui sont les siens !

Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 30 Novembre 2007 à 18:25 | Permalien

Europe, nation, banlieues...Entre tradition et modernité, il répondra à toutes vos questions dans le prochain numéro de "10 minutes avec..." d'Ipol.


Posez vos questions à Jean-Pierre Chevènement pour son passage sur Ipol
Pour poser votre question avant mardi 4 décembre au soir, laissez un commentaire sur le site d'Ipol.
Mots-clés : ipol

Rédigé par Chevenement.fr le 29 Novembre 2007 à 17:23 | Permalien

Il s'exprimait dans l'émission de Guillaume Durand lundi 26 novembre à 18h30.


Jean-Pierre Chevènement invité d'Europe 1 sur le procès Colonna
Le podcast peut être écouté ci-dessous.
20071126_europe1.mp3 20071126-europe1.mp3  (2.65 Mo)

Mots-clés : colonna corse érignac

Rédigé par Chevenement.fr le 26 Novembre 2007 à 18:45 | Permalien

Ce colloque est organisé par la Fondation Charles de Gaulle au Sénat, salle Monnerville, les 26 et 27 novembre 2007. Jean-Pierre Chevènement intervient mardi 27 novembre dans la matinée.


Jean-Pierre Chevènement invité du colloque «Le général de Gaulle et les élites»
Je replacerai mon témoignage sur De Gaulle, le gaullisme et les élites, dans un contexte plus vaste, si vous le voulez bien, à la fois chronologiquement et dans le champ d’extension des sujets traités.

Dans l’analyse qu’il fait des causes de la défaite de 1940, le général de Gaulle voit surtout les effets :
- de la sclérose de la pensée militaire ;
- de l’incapacité du régime à dépasser l’horizon du court terme.

Il fait l’impasse sur les tropismes sociaux, politiques et diplomatiques des élites d’avant-guerre : hostilité au Front Populaire et à l’URSS, refus de la guerre avec l’Allemagne hitlérienne qu’il convient de détourner par une politique d’apaisement contre l’URSS. Soit qu’il ne veuille pas se laisser entraîner politiquement sur un terrain controversé, soit qu’il préfère s’avancer à couvert dans un souci d’efficacité, le général de Gaulle s’est refusé à anticiper sur les analyses que fera longtemps plus tard Annie Lacroix-Riz « Le choix de la défaite, les élites françaises dans les années 1930 », où l’auteur montre le rôle du Comité des Forges, de la haute banque et de la Banque de France elle-même, de l’Etat-major, d’une presse vénale, et d’une Haute administration gangrenée par l’idéologie profasciste voire noyautée par les organisations d’extrême droite (Synarchie et Cagoule), bref, De Gaulle ne s’étend pas sur la défaillance des élites autres que politiques et militaires : élites sociales, économiques, intellectuelles, etc.
Mots-clés : général de gaulle

Rédigé par Chevenement.fr le 26 Novembre 2007 à 18:34 | Permalien

Dépêche AFP, vendredi 23 novembre 2007, 16h12.


Meeting commun de Chevènement et Dupont-Aignan contre le traité européen
Jean-Pierre Chevènement et le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan tiendront un meeting commun dimanche 2 décembre à Paris pour demander un référendum sur le nouveau traité européen, ont-ils annoncé vendredi.
Parmi les personnalités annoncées à cette réunion, figurent également la députée européenne PS Marie-Noëlle Lienemann, l'internaute Etienne Chouard, vedette de la campagne du "Non" à la Constitution européenne sur internet en 2005, ou Pierre Lefranc, ancien chef de cabinet du général de Gaulle et figure des milieux souverainistes.
Le président du groupe Indépendance et démocratie au Parlement européen, Jens-Peter Bonde, est également annoncé.
Le meeting est co-organisé par le Mouvement républicain et citoyen, le parti de Jean-Pierre Chevènement, et Debout la République, le petit parti de Nicolas Dupont-Aignan qui a désormais rompu tout lien avec l'UMP.
Dans un communiqué annonçant l'événement, M. Dupont-Aignan invite les "républicains des deux rives" (gauche et droite) à se manifester pour demander un référendum, reprenant ainsi une expression popularisée par Jean-Pierre Chevènement dans sa campagne présidentielle de 2002.
"Il ne s'agit pas de fusionner", mais "quand l'essentiel est en jeu, il faut travailler ensemble", a-t-il déclaré à l'AFP.
"Puisque la gauche caviar travaille avec la droite libérale" en faveur du traité, "je ne vois pas pourquoi les gaullistes ne travailleraient pas avec les républicains de gauche", a-t-il ajouté.

Rédigé par Chevenement.fr le 23 Novembre 2007 à 16:21 | Permalien

Tribune de Jean-Pierre Chevènement parue dans Valeurs actuelles, vendredi 23 novembre 2007.
En reprenant la substance de la Constitution rejetée, ce traité nourit la désaffection populaire à l'égard de l'Europe.


Contre le traité de Lisbonne
M. Sarkozy prétend avoir couvert par son élection le rejet par 55 % des Français du « projet de Constitution européenne », le 29 mai 2005. Rien n’est moins vrai : M. Sarkozy, pendant sa campagne, avait évoqué un « mini traité », un « traité simplifié » qui pourrait être adopté par la voie parlementaire. Mais le traité de Lisbonne est tout le contraire : il reprend sur 256 pages la « substance » de la Constitution européenne. M. Giscard d’Estaing le reconnaît, même s’il déplore que son enfant ait été saucissonné en articles modificatifs, ce qui le rend le particulièrement illisible, même pour des parlementaires chevronnés. Le subterfuge est manifeste ! La tromperie est énorme ! M. Sarkozy s’asseoit sur la volonté populaire. Il pourra certes répondre que les socialistes – ou du moins leur direction – en font autant et même davantage, puisque c’est au mépris de leur propre engagement de procéder à un nouveau référendum qu’ils viennent de dire « oui » au traité de Lisbonne. C’est vraiment le seul succès dont M. Sarkozy puisse se targuer, car le nouveau traité ne respecte aucune des promesses qu’il avait multipliées pendant sa campagne de redresser la construction européenne, en instaurant un gouvernement économique de la zone euro, en luttant contre l’euro cher, en instaurant enfin une préférence communautaire aux frontières de l’Union européenne.

Rien de tout cela n’apparaît dans le nouveau traité : M. Sarkozy n’a obtenu aucune contrepartie à toutes les concessions qu’il a faites à Angela Merkel. Il y a un abîme entre les résultats que prétend avoir obtenus M. Sarkozy, dans son discours de Strasbourg du 2 juillet 2007, et la réalité des textes.

Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 23 Novembre 2007 à 10:10 | Permalien
1 ... « 211 212 213 214 215 216 217 » ... 269


Derniers tweets

Abonnez-vous à la newsletter








Mots-clés des 30 derniers jours