Hommage de Jean-Pierre Chevènement
La Franche-Comté s'honore d'avoir compté parmi ses enfants, Michel Bouquet, un des plus grands acteurs de tous les temps.
C'est une peine profonde pour tous ceux qui, au-delà de son immense talent, appréciaient l'homme fin et spirituel qu'était Michel Bouquet. J'exprime à sa famille toute ma tristesse.
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Michel Bouquet
Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 14 Avril 2022 à 12:37
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Un meeting de soutien à Emmanuel Macron aura lieu le mardi 19 avril à 18h30 à la Maison du Peuple de Belfort (salle 327), à l'initiative de Jean Pierre Chevènement et du parti Refondation républicaine.
Interviendront à cette occasion :
- Brigitte Vu, ingénieur en efficacité énergétique des bâtiments, enseignant chercheur au département énergie à l'UTBM, présidente du Comité de réélection d'Emmanuel Macron du Territoire de Belfort (Crem) ; - Christophe Grudler, député européen, conseiller municipal de Belfort ; - Denis Sommer, député du Doubs ; - et Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre, président d'honneur de Refondation républicaine. Entretien de Jean-Pierre Chevènement au journal "Marianne", propos recueillis par Natacha Polony, Franck Dedieu et Étienne Campion, vendredi 8 avril 2022.
Jean-Pierre Chevènement était l'invité de l'émission « Le Grand Rendez-Vous » sur CNews et Europe 1, en partenariat avec Les Échos. Il répondait aux questions de Sonia Mabrouk, Mathieu Bock-Côté et Nicolas Barré, dimanche 27 mars 2022.
Le passage de Jean-Pierre Chevènement peut être écouté en replay
Verbatim des interventions de Jean-Pierre Chevènement : "Quand on est engagé dans une guerre, le souci est de la finir. En l’occurrence, il faut que la guerre en Ukraine s’achève le plus rapidement possible parce que cette guerre est un immense malheur qui cause de grandes souffrances. Par conséquent, je pense qu’avant de se livrer à l’exercice traditionnel des injures homériques, on devrait essayer de réfléchir aux conditions qui permettront de rétablir la paix et de faire en sorte qu’une architecture européenne de sécurité puisse se mettre en place. Tel était déjà le souci exprimé par Emmanuel Macron, il y a plusieurs années. Vous vous souvenez des débats que cela a entrainé en France, et même au sein de l’OTAN, car ces préoccupations n’étaient pas considérées comme valables. Récemment, Joe Biden est allé un peu plus loin encore, en demandant un changement de régime. Cela ne se fait pas, même si, naturellement, les Américains y pensent depuis longtemps et que l’on sait qu’entre la parole et l’action il y a souvent un gouffre. Rappelez-vous de l’action en Libye, menée par la France et la Grande-Bretagne, sous l’égide des États-Unis. L’objectif affiché était purement humanitaire. Il s’agissait de protéger les populations de Benghazi. En réalité, cela s’est traduit par un changement de régime et le meurtre de Kadhafi qui, parait-il, a beaucoup impressionné Poutine. Le langage du changement de régime n’autorise pas le débat et la discussion. Le grand mérite d’Emmanuel Macron c’est d’avoir allié, d’une part, la fermeté incontestable par rapport à l’agression russe et, d’autre part, d’avoir maintenu le fil avec Vladimir Poutine. C’est difficile mais nécessaire car il faudra bien sortir de cette situation." Entretien de Jean-Pierre Chevènement au journal suisse "Die Weltwoche", propos recueillis par Jürg Altwegg, jeudi 31 mars 2022.
Entretien de Jean-Pierre Chevènement au journal "L'Opinion", propos recueillis par Marie-Amélie Lombard-Latune, jeudi 17 mars 2022.
Tribune de Jean-Pierre Chevènement pour le Figaro Vox, publiée le vendredi 11 mars 2022.
Sur le site Atlantico, mon vieil ami Benoît Rayski qui me suit à la trace depuis très longtemps écrit : «Qu'est-ce qui a pris à ce souverainiste de se jeter dans les bras d'un européiste ? Par quelle aberration un homme de son courage et de son envergure a-t-il pu rejoindre un petit marquis d'opérette ?» Je veux rassurer ceux de mes amis véritables chez qui ce propos aurait, me dit-on, rencontré quelque écho.
Tribune de Jean-Pierre Chevènement pour le journal Marianne, publiée le mardi 8 mars 2022.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie est une erreur gravissime. La nation ukrainienne est certes tardive. Son premier grand poète, Taras Chevtchenko, n’apparaît dans la littérature ukrainienne qu’au XIXe siècle. La première indépendance de l’Ukraine, de 1917 à 1923, correspond à l’effondrement de l’Empire russe devant l’avance des armées austro-allemandes. Lors de la Seconde Guerre mondiale, Stepan Bandera, le leader indépendantiste ukrainien, joue un rôle pour le moins trouble avec la Wehrmacht. Il n’en reste pas moins que l’immense majorité des Ukrainiens a combattu au sein de l’Armée rouge. Il est ridicule aujourd’hui de faire comme si quelques groupuscules néonazis, certes violents et influents, reflétaient une tendance significative de l’opinion publique ukrainienne.
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