Agenda et médiasCet agenda est actualisé quotidiennement.
Jeudi 17 mai :
Vide grenier à Trevenans à partir de 15h00 Marché aux puces à Sermamagny à partir de 16h30 Vendredi 18 mai : Mairie de La Chapelle sous Chaux à partir de 16h30 Mairie de Auxelle Bas à partir de 17h15 Mairie de Le Puix Gy à partir de 19h00 Mairie - Salle des Fête de Giromagny à partir de 20h00 Samedi 19 mai : Marché de Giromagny à partir de 10h00 Café du Mont à Belfort à partir de 18h30 Gala de Patinage (à confirmer) à partir de 20h30 Dimanche 20 mai : Marché des Vosges à partir de 10h00 Vide Grenier dans le quartier de la Pépinière à Belfort à partir de 11h00 Présence militante sur le terrain : Porte à porte dans toute la circonscription Présence sur les marchés, manifestations populaires, présence aux portes des entreprises, dialogue avec les travailleurs - Les entreprises du Technopole - Alstom - Entreprises du Pays sous vosgien - Marché Fréry - Marché des Vosges - Marché des Résidences - Marché de Giromagny - Centre ville de Belfort, Place de la Résistance ...
Rédigé par Chevenement.fr le 17 Mai 2007 à 12:25
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Communiqué de Jean-Pierre Chevènement, mercredi 16 mai 2007
La déclaration de Bruno Kern, dont je viens de prendre connaissance, l’honore. Il est important en effet que les engagements pris soient respectés. Il est temps que soient levées, dans le Territoire de Belfort, les incompréhensions qui ont pu exister dans le passé. Nous nous sommes retrouvés derrière Ségolène Royal pendant la campagne présidentielle. Nous devons ensemble nous tourner vers l’avenir. Dans cet avenir, Bruno Kern a toute sa place. Ma seule ambition est de préparer l’avenir de Belfort et du Territoire de Belfort dans l’intérêt de tous ses habitants.
Dans le contexte actuel, le soutien réciproque du PS et du MRC dans les deux circonscriptions législatives du Territoire de Belfort est apparu préférable à la constitution de tickets communs. Cet accord équilibré répond à l’exigence de l’union. Nous devons ensemble faire face à la confiscation de tous les pouvoirs dans les mêmes mains et à la remise en cause d’acquis sociaux essentiels : indemnisation du chômage – assurance maladie – pérennité des services publics. Nous devons surtout maintenir le Territoire de Belfort à la pointe du progrès économique et social comme les collectivités locales étroitement unies ont su le faire avec succès depuis de longues années en portant des dossiers essentiels pour l’avenir (développement économique avec Techn’Hom – arrivée du TGV – site médian de l’hôpital – essor universitaire, etc). Pour cela, l’étroite union du PS et du MRC dans la perspective de la refondation de la gauche toute entière est une impérieuse nécessité. J’appelle tous mes concitoyens à y prendre leur place. Le combat commun que nous menons en prépare d’autres. Belfort et le Territoire de Belfort doivent rester fermement ancrés dans une politique de gauche et de progrès. Communiqué commun PS–MRC, mercredi 16 mai 2007
Dans le contexte créé par le résultat de l’élection présidentielle, et dans la perspective de la nécessaire refondation de la gauche, le PS et le MRC ont décidé de travailler ensemble pour préparer les prochaines échéances électorales à Belfort et dans le Territoire de Belfort.
Dans l’immédiat, les premières échéances étant les législatives, les deux partis décident de soutenir les candidats qu’ils présentent dans chacune des deux circonscriptions du Territoire de Belfort : -Dans la première circonscription (Belfort-Delle) Titulaire : Anne-Marie Forcinal, Maire de Fontaine, Vice-Présidente du Conseil Général Suppléant : Pierre Oser, Maire de Delle et Conseiller Général. -Dans la deuxième circonscription (Belfort-Giromagny) Titulaire : Jean-Pierre Chevènement, Maire de Belfort Suppléante : Françoise Bouvier, Maire d’Offemont Les deux formations invitent leurs élus, leurs adhérents et leurs concitoyens à rejoindre les deux comités de soutien. Anne-Marie Forcinal / Maurice Schwartz Yves Ackermann / Jean-Pierre Chevènement Bruno Kern / Françoise Bouvier
Sami Naïr, dans une longue tribune à Libération du 15 mai, sonne « l’heure du rassemblement ». Je l’approuve entièrement, non pas seulement parce que la proximité des élections législatives le commande, mais parce que la création d’un grand parti de gauche, enraciné dans les couches populaires, capable de gouverner, donc républicain et rassembleur, s’impose pour offrir à notre peuple, dans le monde de la globalisation, le projet d’une Europe à la fois sociale et indépendante.
Jacques Chirac s’en va. Il a tort de paraître vouloir s’excuser d’avoir soumis à référendum le projet de Constitution européenne. Il a ainsi offert au peuple français la possibilité de réclamer un redressement bien nécessaire de la construction européenne.
Quand Nicolas Sarkozy rappelle qu’il a toujours été un pro-européen farouche, mais qu’il n’a pas voulu cette Europe-là, celle de l’euro fort et de l’ouverture sans contrôle de son marché, il y a comme une contradiction que seul le peuple pouvait relever avec force, comme il l’a fait le 29 mai 2005. Tout n’est pas négatif, loin de là, dans le bilan de Jacques Chirac. Je n’oublie pas, quant à moi, qu’il a été à son meilleur quand, sous son impulsion, la France s’est opposée, en 2003, à l’invasion de l’Irak. Cela vaut bien un peu de gratitude. M. Ernest-Antoine Seillière, Président de Businesseurope, adresse à M. Sarkozy à peine élu, une ferme mise en demeure dans Le Monde du 15 mai 2007 :
« Nous attendons que M. Sarkozy, avec son énergie et son talent, renoue les fils cassés en 2005 … Le protectionnisme européen est mort avec le marché unique… En Europe, on attend de M. Sarkozy qu’il engage ce qui aurait déjà dû l’être : l’adaptation du marché du travail, la flexisécurité, la réforme des systèmes de retraites … ».
Pour bien se faire comprendre, il ajoute : « Les délocalisations ne sont qu’un phénomène marginal … A Businesseurope, on ne considère pas que l’euro soit à un niveau qui freine la croissance … [Entre pays européens] il n’y a pas de dumping social ». Fermez le ban. La campagne électorale est terminée et M. Sarkozy est fermement prié d’oublier ses propos sur la préférence communautaire et la nécessité d’un euro compétitif. On ne saurait être plus clair pour rappeler à M. Sarkozy qui tient la laisse.
L'heure du rassemblement, Sami Naïr, Libération, 15 mai 2007.
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