Il débat avec Dominique Paillé (UMP) après le discours du président de la République sur la sécurité, répondant aux questions du journaliste Nicolas Poincaré.


Jean-Pierre Chevènement invité de RTL jeudi 28 mai à 18h30
Le débat est podcasté sur le blog ci-dessous.

Rédigé par Chevenement.fr le 28 Mai 2009 à 19:38 | Permalien | Commentaires (5)

Poursuite du cycle de colloques de la Fondation Res Publica mardi 26 mai 2009 à 18h à la Maison de la Chimie (28, rue Saint Dominique 75007 Paris). En voici le programme ci-dessous.


Colloque de la Fondation Res Publica : Réforme territoriale et développement
Avec la participation de :
  • Jean-Pierre Duport, Conseiller d’Etat, ancien Datar et ancien préfet de la région d’Ile de France
  • Patrick Quinqueton, Conseiller d’Etat, Elu de la communauté d’agglomération du Val de Fensch
  • Jean-Pierre Chevènement, Président de la Fondation Res Publica

    NB : sur le sujet de la réforme des collectivités territoriales, cf. les interventions de Jean-Pierre Chevènement.

    Inscrivez-vous à l'adresse électronique res-publica@wanadoo.fr (Merci de préciser vos nom et coordonnées complètes). Pour consulter les travaux de la Fondation Res Publica, fondation reconnue d'utilité publique par décret du 30 décembre 2005, une seule adresse : www.fondation-res-publica.org.

Rédigé par Chevenement.fr le 22 Mai 2009 à 00:04 | Permalien | Commentaires (1)

Il est l'invité de l'émission "Le Débat" présentée par Benoît Duquesne sur le thème des premières semaines du président américain Barack Obama.


Présentation :
Barack Obama, un symbole à la maison blanche...L'élection du nouveau président américain a suscité beaucoup d'espoirs...aux Etats-Unis et dans le monde.
Plan de relance, réforme du système social, rupture avec la politique extérieure jusque là menée par George Bush... telles étaient les promesses de campagne du candidat...
Qu'en est-il après les premiers mois ?
Benoit Duquesne et ses invités reviennent dans « le débat » sur les premiers pas du 44ème président américain...

Invités :
-Caroline Delage, réalisatrice du documentaire « back to Ohio ! » premier bilan d'Obama
-André Kaspi, Historien spécialiste des Etats-Unis
-Jean-Pierre Chevènement, Sénateur du Territoire de Belfort, président du mouvement Républicain citoyen
-Joseph Smallhoover, représentant des démocrates à Paris

Voir la présentation de l'émission en ligne sur le site de Public Sénat. L'émission est podcastée sur le blog ci-dessus.

Rédigé par Chevenement.fr le 17 Mai 2009 à 15:38 | Permalien | Commentaires (3)

Les actes du colloque du 30 mars 2009 sont disponibles en ligne sur le site de la Fondation Res Publica.


Actes du colloque de la Fondation Res Publica : Sécurité européenne : OTAN, OSCE, Pacte de Sécurité

Rédigé par Chevenement.fr le 17 Mai 2009 à 15:28 | Permalien | Commentaires (0)

Les actes du séminaire du 7 avril 2009 sont disponibles en ligne sur le site de la Fondation Res Publica.


Actes du séminaire de la Fondation Res Publica :  La politique extérieure des Etats-Unis après l'élection d'Obama
Le séminaire était organisé autour d'Hubert Védrine, ancien Ministre des Affaires étrangères, avec des interventions de Marie-Françoise Bechtel, Alain Dejammet, Eric Desmarest, Jean-Luc Gréau, Jean-Michel Quatrepoint, Loïc Hennekinne et bien d'autres.

Voir les actes en ligne sur le site de la Fondation Res Publica.

Rédigé par Chevenement.fr le 16 Mai 2009 à 18:30 | Permalien | Commentaires (0)

Communiqué de presse de Jean-Pierre Chevènement, président du Mouvement Républicain et Citoyen, jeudi 14 mai 2009.


Le Mouvement Républicain et Citoyen ne prend pas part à la campagne des élections européennes. Il préconise, le 7 juin prochain, un vote blanc ou nul à ces élections européennes.

Pourquoi ?

Cette élection à un Parlement-fantôme est un trompe l’œil. Dans cette enceinte où 770 soi-disant députés inconnus de leurs électeurs peuvent s’exprimer trois minutes chacun, en usant de l’une des vingt-deux langues officielles reconnues, aucune volonté générale ne peut bien évidemment s’exprimer.

M. Sarkozy, à Nîmes, a parlé de politique de change volontariste, de protection communautaire et de politique industrielle commune, mais il sait très bien que le texte du traité de Lisbonne qu’il a fait adopter, l’en empêchera. La même schizophrénie – pour ne pas dire hypocrisie - frappe le Parti socialiste qui a approuvé lui aussi le traité de Lisbonne. D’ores et déjà MM. Brown et Zapatero ont fait savoir que les députés travaillistes anglais et ceux du PSOE espagnol soutiendraient le candidat libéral à la présidence de la Commission européenne, M. José Manuel Barroso. Cette élection est vide de contenu.

Ni le NPA de M. Besancenot ni le « Front de gauche » ne proposent de stratégie de redressement crédible. L’un ne veut pas venir au pouvoir. L’autre méconnaît le ressort que peut constituer l’exercice de la souveraineté nationale, c’est-à-dire de la démocratie, dans une Europe qui est faite d’une trentaine de nations.

C’est sur celles-ci qu’il faudra s’appuyer pour redresser une construction européenne que le dogme libéral et le mythe d’un peuple européen inexistant vouent à l’impuissance. Le Mouvement républicain et citoyen appelle au vote blanc ou nul de préférence à l’abstention : le peuple français, en effet, ne doit pas laisser bafouer la volonté qu’il a démocratiquement exprimée le 29 mai 2005.

Jean-Pierre Chevènement a apporté son soutien à l'appel "Pour un salaire maximum" publié par l'hebdomadaire Marianne.


Pour un salaire maximum
"Avec la crise économique a surgi le débat sur le salaire maximum qui aurait été jugé totalement ringard voici encore quelques mois.

Pourtant, cette proposition est de bon sens. Elle est même un symbole indispensable si les dirigeants veulent montrer qu’ils ont compris quelque chose au marasme actuel et qu’ils ne souhaitent pas que tout revienne «comme avant».

Le salaire maximum, ou mieux, la rémunération maximale, intégrant bonus et primes, est presque une nécessité : le salarié le mieux payé d’une entreprise vit dans la même société que celui qui est le plus mal payé. Si le premier gagne, comme c’est le cas aujourd’hui, 300 ou 400 fois, voire 5 ou 600 fois plus que le second, il n’a aucune chance de comprendre son univers et donc de prendre des décisions raisonnables qui le concernent. Conscient du problème, l’écrivain George Orwell avait proposé que le salaire du chef d’entreprise ne puisse jamais être plus de dix fois celui de l’ouvrier le plus mal payé.

Pour Henry Ford, qui avait deviné qu'il vaudrait mieux fabriquer des 2 CV que des Jaguar, la bonne proportion était 40 fois.

Dans la France de 2009, cela représente environ 500 000 euros de rémunération annuelle, ce qui est déjà une somme motivante. Le plafond pourrait être instauré par la loi ou par une mesure fiscale comme aux Etats-Unis, taxant à 80 ou 90% les revenus au-delà d’un certain niveau. Bref, la méthode se discute, mais le principe doit s’imposer au législateur le plus vite possible."
Mots-clés : crise inégalités salaires

Rédigé par Chevenement.fr le 5 Mai 2009 à 14:12 | Permalien | Commentaires (4)

Intervention du sénateur Chevènement lors du débat du 30 avril 2009 consacré aux suites du G20 et de la crise financière internationale.


Dans le débat sur le G20, trois tabous à lever : la propriété des banques, la régulation du commerce international, une nouvelle monnaie de réserve
Monsieur le Président, Monsieur le Ministre, mes chers collègues,

Nous n’avons pas tous la même analyse de la crise. Les divergences d’analyses sur les causes de la crise n’ont pas empêché le groupe de travail de formuler à l’unanimité des pistes de réforme concernant d’abord l’assainissement des relations avec les paradis fiscaux, bancaires et réglementaires, ensuite l’architecture de la supervision internationale et enfin la régulation des produits et acteurs financiers.

Reconnaissons le d’abord, la réunion du G20 marque un progrès : car le G20 à la différence du G7, associe la plupart des grands pays émergents. Il reflète la nouvelle multipolarité du monde. Notre groupe de travail a souhaité le renforcement de son rôle politique et son institutionnalisation et cela paraît en bonne voie.

Sur le fond, le G20 du 2 avril 2009 a pris des positions qui vont souvent dans le bon sens mais qui sont insuffisantes, voire pour certaines inappropriées : ainsi, l’assainissement des relations avec les paradis fiscaux, problème important mais qui n’est pas à la racine de la crise, prendra du temps et demandera une résolution sans faille. Celle-ci manque souvent, comme l’a rappelé Mme Bricq, s’agissant des propositions de messieurs Barroso et le commissaire Mac Creevy. De même la limitation de la réglementation des hedge funds à ceux qui ont une importance systémique pourra être facilement tournée. Joseph Stiglitz, dans une interview aux « Echos » observe qu’il n’y a, sur ce point essentiel, aucun engagement du fait de l’influence dans le système des banques américaines. Il ajoute qu’il n’y a pas de volonté réelle de venir à bout des facteurs qui ont contribué à la crise. Il cite, comme l’a fait excellemment remarqué le Président Arthuis, en particulier le traitement des produits dérivés qui ont pourri le système.

(l'intégralité de l'intervention de Jean-Pierre Chevènement en vidéo)

Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 30 Avril 2009 à 18:10 | Permalien | Commentaires (3)
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