Le MRC (chevènementiste) estime que la gauche doit "engranger" le bénéfice du projet de réforme constitutionnelle, qui représente "une avancée" pour ce qui est du renforcement du rôle du Parlement, tout en réclamant d'autres "avancées" notamment sur le scrutin sénatorial.
Le projet de réforme des institutions doit être jugé à "l'aune" d'un principe: "rééquilibrer les droits du Parlement par rapport à ceux du pouvoir exécutif", estime dans un communiqué le Mouvement républicain et citoyen.
A cet égard, "la réévaluation du rôle du Parlement résultant du projet de réforme constitutionnelle représente globalement une avancée", estime le parti qui n'a qu'un député à l'Assemblée nationale.
"Sans cesser de défendre d'autres avancées, comme un mode de scrutin plus juste pour l'élection des sénateurs, le MRC considère que la gauche doit 'engranger' cette réforme".
Pour le MRC, "le partage de la définition de l'ordre du jour, la limitation de la portée de l'article 49-3, le vote des assemblées sur les textes adoptés en Commission, l'abandon bienvenu des velléités de redéfinition des pouvoirs entre les deux têtes de l'exécutif vont indiscutablement dans le sens souhaitable".
"Le Parlement a tout à gagner à cette rupture avec des dispositions instaurant un 'parlementarisme rationnalisé', qui pouvaient avoir un sens il y a cinquante ans", estime le parti de Jean-Pierre Chevènement.
Le projet de réforme des institutions doit être jugé à "l'aune" d'un principe: "rééquilibrer les droits du Parlement par rapport à ceux du pouvoir exécutif", estime dans un communiqué le Mouvement républicain et citoyen.
A cet égard, "la réévaluation du rôle du Parlement résultant du projet de réforme constitutionnelle représente globalement une avancée", estime le parti qui n'a qu'un député à l'Assemblée nationale.
"Sans cesser de défendre d'autres avancées, comme un mode de scrutin plus juste pour l'élection des sénateurs, le MRC considère que la gauche doit 'engranger' cette réforme".
Pour le MRC, "le partage de la définition de l'ordre du jour, la limitation de la portée de l'article 49-3, le vote des assemblées sur les textes adoptés en Commission, l'abandon bienvenu des velléités de redéfinition des pouvoirs entre les deux têtes de l'exécutif vont indiscutablement dans le sens souhaitable".
"Le Parlement a tout à gagner à cette rupture avec des dispositions instaurant un 'parlementarisme rationnalisé', qui pouvaient avoir un sens il y a cinquante ans", estime le parti de Jean-Pierre Chevènement.