Agenda et médiasJean-Pierre Chevènement était l'invité du Talk - Le Figaro, une émission animée par Yves Thréard, Directeur adjoint de la rédaction du Figaro, le vendredi 18 janvier.
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Rédigé par Chevenement.fr le 21 Janvier 2019 à 11:03
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Les actes du colloque du 19 novembre 2018 sont disponibles en ligne sur le site de la Fondation Res Publica.
Les actes du colloque du 22 octobre 2018 sont disponibles en ligne sur le site de la Fondation Res Publica.
Carnet de Jean-Pierre ChevènementCommuniqué de Jean-Pierre Chevènement à l'AFP suite à l'allocution du président de la République, Emmanuel Macron, le 10 décembre 2018
Les annonces faites ce soir par le président de la République sont substantielles. Reste à savoir comment elles seront financées et si le gouvernement sera en mesure de desserrer les contraintes budgétaires européennes.
La question de "l'Europe qui protège" est posée. Le président de la République a par ailleurs souhaité mettre en oeuvre "un nouveau contrat pour la France". C'est un tournant pour son quinquennat et pour le pays. Il ne faut pas refuser d'ouvrir ce vaste chantier de rénovation de notre démocratie. Car en dehors de cette perspective, il n'y aurait que désolation pour la République et pour la France. Jean-Pierre Chevènement était l'invité de Sonia Mabrouk sur Europe 1, dans l'émission "L'Invité d'Europe soir", le jeudi 7 décembre.
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Agenda et médiasJean-Pierre Chevènement était l'invité de Zemmour & Naulleau sur Paris Première, mercredi 5 décembre 2018.
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(Jean-Pierre Chevènement s'exprime à partir de 1h06 d'émission.)
Carnet de Jean-Pierre ChevènementIntervention de Jean-Pierre Chevènement, représentant spécial de la France pour la Russie, lors de la rencontre franco-russe "Innovation et intégration" (Dialogue de Trianon), devant les anciens élèves du MGIMO (Institut d’État des Relations internationales) et de Sciences Po Alumni, mercredi 28 novembre.
Je suis particulièrement heureux de m'exprimer devant les anciens élèves du MGIMO où j'ai donné deux conférences en 2006 et 2013, en présence de son président M. Torkunov et devant les anciens de Sciences Po dont j'ai suivi les enseignements de 1957 à 1960, à une époque où les promotions ne comptaient que trois cents élèves. Mon intervention concernera le rapport à l'Histoire chez les Russes et chez les Français.
Entre l’innovation qui regarde vers l’avenir et les religions auxquelles s'adossent consciemment ou non nos civilisations, il y a l’Histoire telle que nous nous la racontons, le récit que nous nous faisons de ce qui unit le passé, le présent et l’avenir. Un pays ne peut être pensé sans son histoire. Fernand Braudel a écrit : « L’identité d’un peuple, c’est son histoire, toute son histoire, en gardant à l'esprit qu'il reste une route vers l'avenir ». Comme l’a déclaré Mezouev, un philosophe russe : « Si le passé ne contient rien de positif, alors il n’y a pas d’avenir. Il ne reste plus qu’à se laisser aller et à sombrer dans le sommeil ». La Russie comme la France ont besoin de comprendre leur passé pour forger leur avenir. Agenda et médiasEntretien de Jean-Pierre Chevènement pour l'hebdomadaire Marianne, propos recueillis par Hadrien Mathoux, 29 novembre 2018.
L'Allemagne ne cesse, ces derniers mois, de remettre sur la table l'idée que la France partage avec ses partenaires européens son siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU. Pour "Marianne", l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement analyse les implications d'une telle idée et ses conséquences potentielles.
Que pensez-vous de l’idée consistant à partager avec l’Union européenne le siège permanent de la France au Conseil de sécurité de l’ONU ? Cette idée est contraire à la charte des Nations unies de 1945, qui confère à la France le rôle de membre permanent du Conseil de sécurité, avec droit de veto. Elle est de surcroît impraticable. Comment vingt-sept pays pourraient-ils s’entendre pour l’exercice du droit de veto ? Ce serait réduire l’Europe à l’impuissance. Au contraire, la France saura, d’une voix claire, faire valoir les intérêts européens. L’Allemagne doit nous faire confiance. Comment interpréter cette nouvelle prise de position des Allemands ? Quelle est leur stratégie ? Le « forcing » allemand qui s’exprime par la bouche du vice-chancelier s’inscrit dans une longue suite d’initiatives unilatérales prises sans concertation préalable avec la France, comme la sortie du nucléaire en 2011, la règle d’or en matière budgétaire en 2009-2012, la menace de jeter la Grèce en dehors de la zone euro, l’ouverture de l’Union européenne à l’afflux des réfugiés en 2015, etc… L’Allemagne avait déjà imposé, en 2008, la reprise dans le texte du traité de Lisbonne de la « substance » du projet de traité constitutionnel européen rejeté à 55% par le peuple français. |
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