Il répond dans l'émission "18h" aux questions de Michel Grossiord sur la réintégration de la France dans l'OTAN.


L'émission peut être revue en intégralité ci-dessus (à partir de la 19ème minute) ou sur le site de Public Sénat.

Poursuite du cycle de colloques de la Fondation Res Publica samedi 14 février 2009 de 9h30 à 18h à la Maison de la Chimie (28, rue Saint Dominique 75007 Paris). En voici le programme ci-dessous.


Colloque de la Fondation Res Publica : L'Europe au défi de la crise
9h30 Ouverture : André Gauron, Anne-Marie Le Pourhiet, Sami Naïr

Première partie : le fonctionnement de l’Union – présidence : Anne-Marie le Pourhiet

1. L’opacité institutionnelle, Michel Clapié, professeur de droit public à l’Université de Montpellier I

2. A quoi sert la Cour de justice européenne ?, Pierre Rodière, professeur de droit social à l’Université de Paris I, Panthéon-Sorbonne

3. L’idéologie de la Charte des droits fondamentaux, Olivier Cayla, directeur d’études à l’EHESS

4. Le lobbying européen, Marie-Laure Basilien, maître de conférences en droit public à l’Université de Paris III Sorbonne nouvelle.

Rédigé par Chevenement.fr le 9 Février 2009 à 10:42 | Permalien | Commentaires (8)

Agenda et médias



Le 15 août 2008, l'émission "Grandes traversées" proposait, dans une série intitulée "Un autre De Gaulle", un dialogue entre Régis Debray et Max Gallo, entrecoupé d'interventions de Jean-Pierre Chevènement.


Un autre De Gaulle
Voir la présentation de l'émission sur le site de France Culture :
"Que ce soit lors de la montée des périls entre les deux guerres, le 18 juin 1940, puis au moment de la guerre d’Algérie, le Général a prouvé qu’il était doté d’un flair et d’un sens de l’Histoire qui ont fait de lui un visionnaire sans pareil ; il sentait les gens, les choses et les situations, quitte à avoir raison trop tôt. Ce qui entraîne souvent une popularité inconfortable et une marginalité douloureuse. Des désagréments somme toute sans importance à qui entend incarner la France dans la durée. Oui, la France, tout simplement.

Bilan de la série. Face à face sous forme de bilan Max Gallo- Régis Debray, avec des interventions de Jean-Pierre Chevènement."

L'émission est podcastée ci-dessous.

Rédigé par Chevenement.fr le 8 Février 2009 à 13:50 | Permalien | Commentaires (8)

Article de L'Est républicain, samedi 7 février 2009.
Chevènement juge « un peu faible » le plan de relance d'une droite « qui ne sait pas où elle va (...) en matière économique ».


« Nous sommes otages des banquiers »
Sourire amusé : Jean-Pierre Chevènement n'est pas candidat à un poste d'ouverture. S'il a rendu un hommage à Nicolas Sarkozy lors de la venue du chef de l'État à Vesoul le 16 janvier, c'est que l'homme l'intéresse. « J'ai simplement dit qu'il était réactif », a-t-il expliqué dans « L'entretien », le nouveau rendez-vous d'actualité proposé depuis hier sur www.estrepublicain.fr.
Ce jour-là, le propos aimable ne valait pas approbation de l'action du président de la République. Son plan de relance est « un peu faible sur l'investissement », a insisté le sénateur MRC de Belfort. Il « devra inévitablement être suivi de beaucoup d'autres » parce que « la crise est durable et profonde » et que « nous sommes otages des banquiers ».

« Dose de protectionnisme »
Or Nicolas Sarkozy représente « une droite libérale, atlantiste, occidentaliste, décomplexée », a accusé l'ancien ministre. Sa majorité « ne sait pas très bien où elle va à long terme » en matière économique. Mais la relance par la consommation prônée à l'opposé par le PS n'aurait de sens que si elle incluait aussi « une dose de protectionnisme » ou « une certaine préférence communautaire », a-t-il ajouté.

Jean-Pierre Chevènement était l'invité de la première édition de l'entretien Orange-L'Est républicain. La vidéo est disponible ci-dessous.


Résumé de l'entretien :
Quatre fois ministre, élu neuf fois député du Territoire de Belfort, Jean-Pierre Chevènement reste une voix écoutée de la politique française. Il juge le plan de relance du gouvernement « un peu faible sur l’investissement » mais trouve Nicolas Sarkozy « réactif » et « assez tonique » même si le chef de l’Etat incarne selon lui « une droite libérale, atlantiste, occidentaliste, décomplexée ». Sans illusion sur Barack Obama qu’il voit en « Américain qui veut réaffirmer le leadership américain », M. Chevènement pense « qu’un protectionnisme mesuré » ou à défaut « une préférence communautaire » s’imposent face à une crise économique qu’il prédit « durable et profonde ».

Source : Est Républicain et Orange.
Voir également l'article de l'Est Républicain : « Nous sommes otages des banquiers »

Intervention de Jean-Pierre Chevènement au Sénat, le 28 janvier 2009, lors du débat sur la demande du Gouvernement tendant à autoriser la prolongation de l'intervention des forces armées en République de Côte-d'Ivoire, au Kosovo, au Liban, en République du Tchad et en République centrafricaine (opération EUFOR et opérations Boali et Épervier).


Réduire la dispersion de nos engagements
Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, nos engagements extérieurs correspondent-ils aux intérêts majeurs de la France ? Telle est la question à laquelle nous devons répondre.

Le mérite des hommes n'est pas en cause ; je m'associe à l'hommage qui leur a été rendu par le président Josselin de Rohan et de nombreux intervenants.

Le Gouvernement vient d'annoncer une réduction, certes légère, du nombre de nos soldats engagés sur des théâtres d'opérations extérieures. Cette réduction n'est-elle pas le préalable d'un redéploiement en direction de l'Afghanistan ?

Je ne conteste que la France ait un rôle à jouer comme membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU. Elle accomplit là un devoir supérieur, au service de la communauté internationale.
Je ne conteste pas non plus le rôle que la France joue au profit de pays encore fragiles, des États qui ne se tiennent pas toujours très fermement sur leurs jambes, notamment en Afrique, où se trouvent notre histoire et nos intérêts.
Je ne conteste pas davantage le renforcement de notre présence militaire au Proche-Orient afin de faciliter l'application des résolutions de l'ONU.

Mais je m'inquiète d'une dérive, qui correspond à l'évolution du monde et qui conduit notre pays à intervenir de plus en plus dans le sillage de la diplomatie américaine.

Il est interrogé par Frédéric Rivière pendant 10 minutes.


Jean-Pierre Chevènement invité de RFI mercredi 28 janvier à 8h20
L'émission peut être écoutée sur le site de Radio France International en direct ou sur votre radio (89 FM à Paris). Elle est podcastée sur le blog ci-dessous.

Ce colloque est organisé à l'Institut du Monde Arabe par la Fondation Safadi, l'IRIS et l'Institut du Monde Arabe, mardi 27 janvier 2009 entre 13h30 et 18h.


Jean-Pierre Chevènement invité du colloque Le Liban dans l'union pour la méditerranée
Jean-Pierre Chevènement interviendra dans la table-ronde de 14h45 : "L'économie libanaise dans l'économie des pays arabes méditerranéens"

  • Ouverture de la séance par Christine Lagarde, Ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi
  • Président : Pascal Boniface, Directeur, IRIS
  • Hervé de Charette, Député, Président de la Chambre de Commerce franco-arabe, ancien ministre
  • Jean-Pierre Chevènement, Sénateur du Territoire de Belfort, Président du Mouvement Républicain et Citoyen et de la Fondation Res Publica, ancien ministre
  • Toufic K. Gaspard, Économiste libanais
  • Nicolas Sarkis, Directeur du Centre arabe des études pétrolières à Paris

    Le programme complet est disponible sur le site de l'IMA.

Rédigé par Chevenement.fr le 23 Janvier 2009 à 13:03 | Permalien | Commentaires (1)
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