Agenda et médias

Colloque de la Fondation Res Publica : L'Europe au défi de la crise


Poursuite du cycle de colloques de la Fondation Res Publica samedi 14 février 2009 de 9h30 à 18h à la Maison de la Chimie (28, rue Saint Dominique 75007 Paris). En voici le programme ci-dessous.


Colloque de la Fondation Res Publica : L'Europe au défi de la crise
9h30 Ouverture : André Gauron, Anne-Marie Le Pourhiet, Sami Naïr

Première partie : le fonctionnement de l’Union – présidence : Anne-Marie le Pourhiet

1. L’opacité institutionnelle, Michel Clapié, professeur de droit public à l’Université de Montpellier I

2. A quoi sert la Cour de justice européenne ?, Pierre Rodière, professeur de droit social à l’Université de Paris I, Panthéon-Sorbonne

3. L’idéologie de la Charte des droits fondamentaux, Olivier Cayla, directeur d’études à l’EHESS

4. Le lobbying européen, Marie-Laure Basilien, maître de conférences en droit public à l’Université de Paris III Sorbonne nouvelle.

Pause déjeuner
14h30 : reprise des travaux

2ème partie : L'Union est-elle économiquement et institutionnellement réformable? - présidence Sami Naïr

1. Peut-on démocratiser l'Union ?, Bastien François, professeur de science politique à Paris I, Panthéon-Sorbonne.

2. Comment répartir les compétences entre les États-nations et l'Union ?, Olivier Gohin, professeur de droit public à Paris II, Panthéon-Assas

3. L'Europe dans la crise mondiale, Guillaume Duval, rédacteur en chef d’Alternatives économiques

4. Le point de vue allemand dans la crise, Christian Deubner, économiste au CEPII

5. Les conditions d'une politique économique européenne, André Gauron, Conseiller-maître à la Cour des Comptes

Conclusions : Jean-Pierre Chevènement

Inscrivez-vous à l'adresse électronique res-publica@wanadoo.fr (Merci de préciser vos nom et coordonnées complètes). Pour consulter les travaux de la Fondation Res Publica, fondation reconnue d'utilité publique par décret du 30 décembre 2005, une seule adresse : www.fondation-res-publica.org.



Rédigé par Chevenement.fr le Lundi 9 Février 2009 à 10:42 | Lu 5483 fois



1.Posté par BA le 24/01/2009 21:43
Avec la crise, la contestation gagne en Europe.

Après la Grèce, les pays Baltes, l'Islande et la Bulgarie connaissent des mouvements sociaux qui inquiètent l'Union européenne.

La peur d'une insurrection populaire nourrie par la crise commence à s'insinuer dans les esprits des dirigeants européens. Pour l'heure, elle est irrationnelle.

La contestation ne touche actuellement que les marges de l'Union. Dans les pays Baltes, en Islande et en Bulgarie, les mouvements sociaux et la colère de foules toutefois se multiplient. Les raisons de la révolte sont d'abord nationales. Mais aucune solution n'étant vraiment discernable, ce mouvement contestataire ne risque-t-il pas de gagner, à mesure que la crise s'approfondit, l'Europe tout entière ?

Chefs d'État et de gouvernement européens ont déjà connu une grande frayeur. Réunis le 12 décembre dernier à Bruxelles, ils ont perçu la détresse de leur homologue grec, Costas Caramanlis, débordé par la révolte d'une jeunesse mettant à feu et à sang les rues d'Athènes.

À Berlin et Paris, des groupuscules ont alors tenté d'importer le conflit. Des responsables politiques, tel le socialiste Laurent Fabius, ont aussitôt suggéré que «ce que l'on voit en Grèce n'est pas du tout malheureusement hors du champ de ce qui peut arriver en France. Quand vous avez une telle dépression économique, avait ajouté l'ancien premier ministre, une telle désespérance sociale, il suffit qu'il y ait une allumette qui se mette là-dedans et tout part, surtout qu'on a quand même un gouvernement qui vis-à-vis de la jeunesse ne montre pas de compréhension.» De retour du Conseil européen de Bruxelles, Nicolas Sarkozy avait prudemment repoussé la réforme de l'éducation nationale, qui à l'époque attisait la colère lycéenne.

Après être retombée pendant la trêve des confiseurs, la fièvre connaît actuellement quelques nouvelles poussées. Mercredi, le premier ministre islandais, Geir Haarde, s'est retrouvé coincé dans sa limousine, bombardée de canettes et d'œufs. Comme la veille, la police antiémeute a utilisé les gaz lacrymogènes, défendant et arrêtant les plus énervés parmi les 2 000 manifestants qui se massaient autour du Parlement. La colère populaire ne semble toutefois pas devoir de sitôt s'apaiser dans cette petite île, dont la prospérité reposait jadis sur les opérations financières d'un secteur bancaire désormais en faillite.

Jusqu'à peu encore, les pays Baltes s'enorgueillissaient également de beaux taux de croissance. Plongeant désormais dans la récession, la Lettonie et la Lituanie viennent de connaître les plus importantes manifestations de rue depuis que ces deux pays ont secoué le joug soviétique en 1991.

À Riga, quelque 10 000 personnes se sont rassemblées vendredi dernier aux abords du Parlement letton. Là encore, la pression ne paraît pas devoir retomber. «Nous ne sommes qu'au début des protestations», prédit Nils Muiznieks, politologue de l'université de Lettonie. Parmi ses collègues, les médias commencent à dénicher celui qui promet un «printemps chaud», et celui, plus ambitieux ou désespéré, qui entrevoit déjà un «nouveau mai 1968».

Pour clore une liste qu'aucun gouvernement ne souhaite voir s'étendre, la Bulgarie bouge elle aussi. À la faillite économique s'ajoute encore et toujours la corruption des élites.

Évidemment, plus le peuple souffrira, moins il supportera les rémunérations, avantages et passe-droits des gens d'«en haut». Alors que les prévisions de la Commission européenne sont particulièrement sombres, les gouvernants, qui multiplient les plans de relance et nationalisent le crédit, sont désormais en première ligne, à la manœuvre. C'est à eux que la rue demandera des comptes.

http://www.lefigaro.fr/international/2009/01/23/01003-20090123ARTFIG00006-avec-la-crise-la-contestation-gagne-en-europe-.php

2.Posté par BA le 25/01/2009 13:25
Économie : l'euroland au bord de la crise.

Les critères de Maastricht et le pacte de stabilité n'ont pas réussi à rapprocher les économies des pays membres de la zone euro. Les disparités Nord-Sud perdurent et deviennent une véritable bombe à retardement.

Tout a commencé avec la crise financière. Celle-ci s'est rapidement transformée en crise économique. Elle pourrait maintenant se muer en crise de l'euro. Dix ans après l'adoption de la monnaie commune européenne, force est de constater que les critères de Maastricht et le pacte de stabilité, qui devaient permettre aux Etats concernés d'harmoniser leurs politiques économiques, se sont soldés par un échec total.

En réalité, les écarts de compétitivité entre, d'une part, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Autriche et, d'autre part, la France, l'Espagne, l'Italie, le Portugal et la Grèce n'ont cessé de se creuser et vont encore s'aggraver sous l'effet de la crise économique et financière.

Les pays économiquement plus faibles vont devoir financer la relance de leur économie par un nouvel accroissement de leur dette et devront verser encore plus d'intérêts. La Grèce, par exemple, devra payer deux fois plus que l'Allemagne pour rembourser ses emprunts d'Etat. Il n'y a pratiquement aucun espoir d'échapper à ce cercle vicieux.

Autrefois, la dévaluation de la monnaie était l'arme la plus efficace dans ce genre de situation. Cela est aujourd'hui impossible.

Désespéré, le gouvernement italien a tenté de négocier avec l'Allemagne pour lancer un emprunt d'Etat conjoint et s'est naturellement fait envoyer sur les roses. Car les Allemands n'ont pas l'intention de payer pour les Italiens.

Ces tensions ne retomberont que si la disparité des économies du Nord et du Sud s'estompe. A défaut, il ne restera d'autre alternative que de sortir de la zone euro.

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=93846

3.Posté par BA le 14/02/2009 21:21
Vive le libre-échange mondial !

Répétez avec moi :

Vive le libre-échange mondial !

Criez encore plus fort :

Vive le libre-échange mondial !

Les grands argentiers du G7 ont affirmé samedi 14 février que la « stabilisation » de l'économie mondiale et des marchés financiers était leur « plus haute priorité », à l'issue de leur réunion à Rome.

Les ministres des Finances et les banquiers centraux des sept pays les plus riches (Etats-Unis, Japon, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Italie, Canada) s'engagent également à ne pas céder au protectionnisme, alors que la crise s'aggrave.

Les Etats-Unis, à cause de la clause « Buy American » (achetez américain) contenue un temps dans le plan de relance, et la France, pour ses aides au secteur de l'automobile, ont été très critiqués à ce sujet.

La ministre française de l'Economie Christine Lagarde, a d'ailleurs réagi samedi en précisant que le plan automobile français n'était « pas protectionniste », estimant que la France ne se sentait « pas particulièrement visée » par les critiques de plusieurs de ses partenaires européens.

http://www.lefigaro.fr/economie/2009/02/14/04001-20090214ARTFIG00557-le-g7-ne-veut-pas-ceder-au-protectionnisme-.php

4.Posté par BA le 17/02/2009 11:49
Pas possible d'y échapper, on vous le répète sur tous les tons, sur toutes les ondes, matin, midi et soir depuis le déclenchement de la crise : « l'euro nous protège. »

C'est archi faux.

D'abord, on en parle peu en France, mais plusieurs pays de la zone euro envisagent désormais publiquement de se doter d'une nouvelle monnaie nationale (pour l'heure, il s'agit du Portugal, de la Grèce et de l'Espagne. L'Irlande et l'Italie seraient sur le point de les rejoindre).

Mais, surtout, la dernière livraison de statistiques d'Eurostat, l'INSEE européen, finit de rétablir la vérité. Il serait bien que tout le monde diffuse ces chiffres pour contrecarrer la propagande pro-euro.

Si l'euro nous protège, c'est d'abord manifestement de la croissance et de la prospérité. En effet, au dernier trimestre de l'année 2008, le produit intérieur brut de la zone euro a reculé de 1,5%, soit un chiffre encore pire que celui enregistré aux Etats-Unis, épicentre de la crise (- 1%).

Autre nouvelle qui contredit le soi-disant effet protecteur de la monnaie unique : la zone euro est entrée en récession avant l'Union européenne, dès le 3ème trimestre de 2008, alors que l'UE était encore globalement en croissance. Autrement dit, les pays européens qui n'utilisent pas l'euro ont conservé plus longtemps de meilleures performances économiques.

Pour résumer :

- La zone euro est entrée en récession la première.

- Elle connaît la dépression la plus sévère du monde.

- De surcroît, elle sort d'une période de 10 ans de faible croissance, la plus faible du monde.

Mais à part ça, rassurez-vous, « l'euro nous protège. »


http://www.marianne2.fr/Comment-l-euro-nous-protege_a175243.html

5.Posté par BA le 18/02/2009 14:12
Les résultats du 4ème trimestre viennent de confirmer une dure réalité : la crise est plus sévère en Europe qu’aux États-Unis puisque le PIB a reculé de 1% outre-Atlantique contre une baisse de 1,5% dans la zone euro comme en Grande-Bretagne. Un paradoxe qui doit amener à se poser des questions sur l’euro.

Lors du débat sur le traité de Maastricht, ses partisans promettaient un futur économique radieux. Aujourd’hui, ils affirment que l’euro nous protège. Pourtant, alors que la crise est partie des États-Unis, que le taux de chômage y a déjà progressé de 3 points, que des millions de ménages ont été expulsés, la récession y est moins forte qu’en Europe. En 2008, le PIB Américain a cru de 1,2% contre 0,8% en zone euro. L'Europe est entrée en récession un trimestre avant et 2009 s’y annonce encore plus mauvais.

Pire, l’examen de l’évolution du PIB est encore plus cruel pour l’Europe en montrant une asphyxie économique progressive. Alors que la croissance était de 2,4% dans les années 80 en France et en Italie et de 2,3% en Allemagne, elle est passée à respectivement à 2%, 1,6% et 2,1% dans les années 90 puis à seulement 1,3%, 0,5% et 0,8% dans les années 2000. Dans le même temps, le Royaume-Uni, en retard dans les années 70, affiche une croissance de 2,7%, 2,5% et 1,8% sur les trois dernières décennies.

Les chiffres qui sont tombés pour le 4ème trimestre sont désastreux pour la zone euro. Alors que le PIB Américain a reculé de 3,8% en rythme annuel, il a baissé de 4,8% en France, de 6% au Royaume Uni, de 7,2% en Italie et de 8,4% en Allemagne. La situation de l’Espagne et de l’Irlande, les anciens champions de la croissance européenne, est encore plus mauvaise avec une baisse du PIB Irlandais qui pourrait atteindre 5% sur 2009 avec un déficit budgétaire de 10%.

Malheureusement, on peut se demander aujourd’hui si l’euro, loin de nous protéger, n’est pas un handicap pour les économies européennes. En effet, le problème de la zone euro est son hétérogénéité. Dans les années 2000, la majeure partie (Allemagne, France, Italie), avait une croissance et une inflation faibles qui demandaient une politique monétaire accommodante. De l’autre, des pays comme l’Espagne ou l’Irlande, en forte croissance et avec une inflation supérieure, avaient besoin d’une politique monétaire plus restrictive pour éviter la formation de bulles, immobilières notamment.

Résultat, la politique monétaire de la BCE a été une cote mal taillée, une politique trop accommodante pour les pays en forte expansion et trop restrictive pour les pays qui restaient dans une croissance molle. Pire, cette inadéquation a renforcé les écarts entre les pays puisque la politique de la BCE a alors renforcé l’expansion espagnole et irlandaise tout en maintenant l’Allemagne, la France et l’Italie dans cette croissance molle. La même politique était à la fois trop restrictive pour certains et trop laxiste pour d’autres.

Et aujourd’hui, le bilan est encore plus mauvais puisque l’on constate que la croissance de l’Espagne et de l’Irlande était artificiellement soutenue par des taux d’intérêts trop faibles. Résultat, ces pays se réveillent avec une terrible gueule de bois, un effondrement économique qui fait s’envoler le chômage (déjà 14 % en Espagne !) alors que les pays qui ont subi une croissance molle pendant les années 2000 souffrent davantage que les États-Unis dans cette crise. Tout le monde semble perdre avec l’euro.

Pire, le principal bénéfice de l’euro, la réduction des écarts de taux, a été annihilé par la crise puisque la Grèce emprunte 2,4 points plus cher que l’Allemagne. En outre, la BCE ne peut pas racheter des emprunts d’État pour baisser leur taux, contrairement à ce que font la Fed ou la Banque d’Angleterre. Encore pire, la rigidité induite par la monnaie unique pousse à un nivellement par le bas des salaires (ce que fait l’Allemagne depuis 10 ans) et de la fiscalité, qui a un profond effet dépressif sur les pays les plus riches.

Enfin, le biais globalement restrictif de la BCE provoque une surévaluation de l’euro dévastatrice pour les entreprises exportatrices, ce qui explique que l’Europe soit entrée en récession un trimestre avant les Etats-Unis l’an dernier. Michel Aglietta a calculé que la parité normale de l’euro est 1,07 dollars. Même sous les 1,3 dollars aujourd’hui, l’euro est encore surévalué de 20%, ce qui explique le choix d’Airbus de confier une partie du fuselage de l’A350 à un fournisseur Américain pour l’assembler… en Europe !

La zone euro n’est pas une zone géographique adaptée au partage d’une même monnaie. De nombreux économistes le soutiennent. Résultat, la politique de la BCE asphyxie les uns (France, Allemagne, Italie) et dope artificiellement les autres (Espagne, Irlande) avant un très dur réveil.

http://www.marianne2.fr/L-euro,-facteur-de-recession-_a175259.html?voir_commentaire=oui#last_comment

6.Posté par BA le 19/02/2009 11:14
« Les actifs toxiques des banques européennes risquent écraser bon nombre de gouvernements de l’Union Européenne. Ils pourraient créer un danger systémique dans le système bancaire de l’Union Européenne, selon une note confidentielle préparée par la Commission Européenne.

7 pays pourraient faire faillite : le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas, l’Autriche, la Suède, l’Angleterre, et un pays hors de l’Union Européenne : la Suisse. »

Article original en langue anglaise :

The toxic debts of European banks risk overwhelming a number of EU governments and may pose a “systemic” danger to the broader EU banking system, according a confidential memo prepared by the European Commission.

http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/banksandfinance/4593539/European-banks-toxic-debts-risk-overwhelming-EU-governments.html

7.Posté par BA le 19/02/2009 16:15
La BNP va faire faillite.

Le total des dettes de la BNP est de 2 017 milliards d’euros, alors que ses capitaux propres ne sont que de 59 milliards d’euros !

La norme, c’est ceci : les capitaux propres de la banque doivent absolument être d’au moins 8 % des dettes de la banque.

Pour la BNP, c’est un cataclysme : ses capitaux propres ne représentent que 2,9 % de ses dettes !

Lisez cet article :

« Par ailleurs, le total des dettes de la BNP dépasse maintenant le PIB de la France ! Ce qui est particulièrement dangereux car il est impossible de sauver la situation en cas de faillite.

La BNP et la France ressemblent de plus en plus à ces villages Potemkine qui donnent l’impression que tout va bien (le patron de la BNP répète que ses fonds propres sont largement suffisants).

Ces deux ratios d’endettement (par rapport aux capitaux propres et au PIB) sont fondamentaux.

À partir du moment où ils sont respectés, il est alors possible d’examiner les autres critères d’évaluation qui sont alors significatifs.

Si ce n’est pas le cas, rien ne va plus, et tout peut se produire brusquement d’un jour à l’autre comme on l’a constaté avec la faillite de grandes banques centenaires. »

http://www.jpchevallier.com/article-28114182.html

8.Posté par BA le 21/02/2009 00:02
Société Générale : états financiers consolidés au 31 décembre 2008.

Total dettes : 1 089 116 millions d’euros.

Total capitaux propres : 40 887 millions d’euros, soit seulement 3,75 % des dettes.

http://library.corporate-ir.net/library/21/217/217918/items/324870/87B0CCAB-9166-4D4A-84A1-D62197186AD3_etatsfinancier.pdf

BNP : états financiers consolidés au 31 décembre 2008.

Total dettes : 2 016 581 millions d’euros.

Total capitaux propres : 58 968 millions d’euros, soit seulement 2,92 % des dettes.

http://media-cms.bnpparibas.com/file/38/4/etats-financiers-4t2008.6384.pdf

Pour préparer le terrain à la nationalisation de la Société Générale et de la BNP, Christine Lagarde vient de se déclarer en faveur de la nationalisation des banques en faillite.

Pronostic : dans quelques jours, Sarkozy annoncera la nationalisation de la Société Générale et de la BNP.

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