Agenda et médiasPoursuite du cycle de colloques de la Fondation Res Publica lundi 18 février 2008 à 18h à la Maison de la Chimie (28 rue Saint Dominique - 75007 Paris). En voici le programme ci-dessous.
Quel bilan pour l’agenda de Lisbonne ? Quel bilan de la gestion de l’euro ? Quels sont les moyens d’une politique de change ? Quelle politique monétaire dans une zone euro hétérogène ? Quelles stratégies ont adopté nos voisins ? Vers quelles politique économique voulons nous aller dans la zone euro ? Quels problèmes soulèverait une sortie de l’euro ?
Les invités (liste provisoire) :
Rédigé par Chevenement.fr le 12 Février 2008 à 18:21
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ActualitésDimanche 10 février 2007, 22h.
Le président Sarkozy se moque du monde. En faisant ratifier le traité de Lisbonne par la voie parlementaire, il a repris beaucoup plus que la partie institutionnelle de la Constitution européenne. Si, par exemple, la «concurrence libre et non faussée» n’est plus un objectif de l’Union, elle reste, au terme du protocole n°6, un principe que la Commission européenne est chargé de faire appliquer. De même un contrôle parlementaire limité au droit de saisine de la Cour de justice de l’union européenne n’est qu’un faux semblant de plus. Enfin l’OTAN consacrée comme cadre de la défense européenne, c’est l’Euramérique en marche, où la France disparaîtra.
Le président Sarkozy fait de grands moulinets verbaux : ainsi sur la monnaie, la politique commerciale ou industrielle, ou encore les dérives du capitalisme financier. Mais dès qu’il formule ses propos pour la présidence française de l’UE, il se garde bien d’aborder ces sujets qui fâchent. Il reprend des sujets rebattus (immigration, politique agricole, etc.). M. Sarkozy est un artiste dans la peinture en trompe l’œil. Mais les Français le jugeront et le jugent déjà sur les actes, et en particulier sur son incapacité à mettre en accord ceux-ci avec de tonitruantes proclamations. Il interviendra dans le cadre de la "semaine européenne" de l'Institut d'Etudes Politiques de Strasbourg.
Le thème retenu cette année pour cette manifestation porte sur le traité de Lisbonne.
Voir le programme sur le site de l'IEP de Strabsourg. Facebook est le réseau social le plus dynamique sur Internet. Ce groupe n'est lié à aucun parti politique et doit permettre aux amis de Jean-Pierre Chevènement de s'échanger des informations.Agenda et médiasLe thème de l'émission : Feu Vert pour le Traité de Lisbonne, feu rouge pour la France ? L'émission dure 1 heure et est podcastée sur le blog ci-dessous.
Egalement invités :
-Nicolas Dupont Aignan, député, président de Debout la République. -Philippe Moreau-Defarges, chercheur à l’IFRI L'émission est rediffusée sur BFM Radio (96.4 FM à Paris) à 16h. Dépêche AFP, lundi 4 février 2008, 19h28.
Jean-Pierre Chevènement a prévenu lundi que la construction européenne fondée sur "un déni de démocratie apparaîtra vite comme frappée d'illégitimité", après l'adoption par les parlementaires de la révision constitutionnelle, préalable à la ratification du traité de Lisbonne.
"181 voix contre la révision constitutionnelle", dont "près de 120 parlementaires socialistes, c'est mieux qu'un baroud d'honneur qui a été livré au Congrès de Versailles", estime dans un communiqué le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC). Mais "ce n'est pas la bataille d'arrêt qu'une direction socialiste aurait pu livrer et gagner si le Parti socialiste avait été à l'unisson de la volonté du peuple français et particulièrement de son électorat", ajoute l'ancien ministre, partisan d'un référendum. Dénonçant un "triomphe momentané de l'hypocrisie", il prévient: "cela ne durera pas toujours: la poursuite de la construction européenne sur la base d'un déni de démocratie apparaîtra vite comme frappée d'illégitimité". ActualitésIntervention de Jean-Pierre Chevènement au rassemblement du Comité national pour un référendum (CNR) samedi 2 février, Paris (Halle Carpentier).
Jean-Pierre Chevènement au rassemblement du CNR, samedi 2 février, Paris
Nous sommes réunis ici pour défendre la souveraineté populaire. Celle-ci et la démocratie sont en effet une seule et même chose.
Les parlementaires réunis à Versailles, après demain 4 février 2008, auront à répondre à une question simple : peuvent-ils désavouer le peuple qui s’est prononcé, le 29 mai 2005, à 55% contre le projet de constitution européenne ? Car il n’est pas vrai, comme l’a prétendu M. Sarkozy, que le traité de Lisbonne soit un traité « simplifié » et moins encore un « mini-traité ». Ce subterfuge ne peut tromper personne. M. Giscard d’Estaing n’a-t-il pas lui-même déclaré le 17 juillet 2007, devant le Parlement européen, que le traité de Lisbonne n’apportait que « des changements cosmétiques à la Constitution européenne pour qu’elle soit plus facile à avaler » ? En vérité, nos dirigeants se moquent du peuple. |
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