Agenda et médiasMarie-Françoise Bechtel est candidate d'Union de la gauche MRC-PS-PRG dans la 2ème circonscription législative de l'Indre.
L'affiche officielle de campagne législative de Marie-Françoise Bechtel dans la 2ème circonscription de l'Indre
Marie-Françoise Bechtel et Jean-Pierre Chevènement animeront une réunion publique le 29 mai 2007 à partir de 19h30 salle Guilpin à Issoudun (36) (place du Dr Guilpin - sur le côté de la mairie)
Le site de campagne de Marie-Françoise Bechtel propose en particulier sa profession de foi aux électeurs.
Rédigé par Chevenement.fr le 28 Mai 2007 à 15:53
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Franck Dudt, jeune militant PS dans la Vallée de la Doller, était présent vendredi 25 mai au soir pour la réunion de campagne de Jean-Pierre Chevènement à Etueffont. Il livre sur son blog ses impressions après celle-ci.
Franck Dudt et Jean-Pierre Chevènement (source : blog de Franck Dudt)
Ce tract présente les grandes orientations de Jean-Pierre Chevènement pour le Territoire de Belfort et son avenir dans les domaines de l'emploi, l'environnement, la solidarité, le TGV, l'intercommunalité, la santé, la formation, ainsi que le comité de soutien du candidat. Un document à imprimer, à lire et à diffuser autour de vous !
Le tract de 8 pages est téléchargeable ci-dessous au format PDF.
(Pour lire les documents au format PDF : télécharger Adobe Reader Dans un entretien à paraître en juin dans la revue Utopie critique, Jean-Pierre Chevènement dessine les grandes lignes de la refondation de la gauche.
Extraits de l'entretien :
« Ségolène Royal, pendant sa campagne électorale, a cherché une mise à niveau du PS dans l’urgence. Je l’y ai aidée de mon mieux et je continuerai à le faire, non pas en direction d’une ouverture « centriste » qui n’avait qu’un intérêt tactique entre les deux tours, mais en vue de créer un grand parti de gauche, ancré dans les couches populaires, capable de gouverner et donc structuré par un logiciel républicain. Il n’y a pas d’autre alternative. La social-démocratie en France n’a pas de sens en raison de l’émiettement syndical et de la tradition de séparation entre le politique et le syndical qui remonte à la Charte d’Amiens (1902). La jeunesse pourra alors s’engager dans ce grand parti de gauche qui est à construire avec elle. Avec le MRC, je l’aiderai de mon mieux à trouver ses repères. Aucun parti de gauche ne peut se passer d’une grille de lecture du monde. Comprendre le monde pour le transformer, pour changer les règles du jeu de la mondialisation libérale reste un préalable à toute refondation réussie de la gauche française. » (...) « La gauche qui se dit antilibérale doit cesser de jeter l’ostracisme sur l’idée républicaine, comme elle l’a fait dans la dernière période. Nous avons toujours lutté pour aider la gauche à lutter contre ses mauvais démons : il y a urgence à redresser ses analyses sur des sujets essentiels comme la nation, l’Europe, la sécurité, les rapports avec les pays du Sud. Il faut rompre avec les visions angéliques ou laxistes qui ont plombé la gauche face à N. Sarkozy : celui-ci a su récupérer et détourner des valeurs républicaines que la gauche n’aurait jamais dû laisser tomber en déshérence. C’est par ce combat idéologique intransigeant dans la gauche elle-même que commencera la reconquête. Rien n’est perdu. Tout est à reprendre. » L'entretien intégral sera publié en juin dans Utopie critique et sur ce blog. Sami Naïr est candidat soutenu par le MRC, le PS et le PRG pour la 3ème circonscription de Seine et Marne.Communiqué de Jean-Pierre Chevènement, mardi 22 mai 2007.
Physicien spécialiste des supraconducteurs et des cristaux liquides, il s’était aussi investi dans la biologie en enjambant les barrières habituelles de la connaissance. Le Prix Nobel qu’il obtint en 1991 consacra ses travaux mais lui dicta aussi de nouveaux devoirs, au service de la vulgarisation et de l’encouragement à l’enseignement scientifique. Pierre-Gilles de Gennes fut un inlassable militant de la cause de la recherche française, et un citoyen engagé. A de multiples occasions il sut irriguer le débat public sur l’éducation et les sciences d’idées neuves qu’il servait avec un talent rare. Je n’oublie pas le soutien qu’il m’apporta lors de la campagne présidentielle de 2002. Pierre-Gilles de Gennes laisse à tous ceux qui l’ont connu un souvenir profond, et la marque d’une empreinte durable sur la science et la recherche françaises.
Voici l'affiche de campagne de Jean-Pierre Chevènement (à ses côtés sa suppléante, Françoise Bouvier). Jean-Pierre Chevènement est soutenu dans sa circonscription par le Mouvement républicain et citoyen (MRC) et le Parti socialiste (PS).
A reproduire sur vos blogs si vous souhaitez que Jean-Pierre Chevènement soit réélu député !
C. Tasin, le 16 mai dernier, me demande si mon soutien à la candidature de Ségolène Royal ne m’aurait pas conduit à abandonner les idées qui sont les miennes depuis pas mal d’années déjà (bien avant 2002).
Que C. Tasin se rassure : la confrontation entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, en dehors de ses péripéties tactiques, a simplifié à l’extrême le paysage politique : c’est là où nous sommes que nos idées gardent tout leur avenir, dans la constitution à venir d’un grand parti de gauche et de gouvernement et donc par définition « républicain ». Là est notre tâche historique.
Ceux qui citent à tort et à travers cette phrase que j’ai en effet prononcée : « Il y a une chose qui est, au dessus de la droite, au dessus de la gauche, c’est la République » (discours de Vincennes du 9 septembre 2001) oublient la phare complète : « La gauche et la droite continueront d’exister à l’avenir sous des formes et avec des contenus différents, mais il y a une chose qui est au dessus de la droite, au dessus de la gauche, c’est la République », phrase qui venait en conclusion d’un passage où je déclarais à la fois : « Le monde du travail serait réduit à l’impuissance si la République venait à disparaître » et « Il est temps de surmonter la tache aveugle qui a fait passer tant d’hommes de gauche sincères à côté de la nation ». Tout cela reste d’une parfaite actualité : le projet de M. Sarkozy ne se réfère à l’intérêt général que dans le cadre d’une mondialisation financière dont il accepte de jouer le jeu, s’étant déjà lié les mains en renonçant à vouloir modifier les statuts de la Banque Centrale européenne. Or, l’intérêt général ne saurait se dissocier des intérêts à long terme du monde du travail. Il faut toujours en revenir à Jaurès, abondamment cité (et dévoyé) par Nicolas Sarkozy : « l’Etat exprime un rapport de forces entre les classes ». Entre les intérêts du monde du travail et ceux des multinationales (ou, si l’on veut être plus rigoureux, du capital financier mondialisé), je ne vois que trop bien le rapport de forces que le gouvernement de M. Sarkozy établira. Plutôt que de « jouer le jeu », il faudra plus que jamais peser pour changer la règle du jeu. C’est ce que nous essaierons de faire dans les temps à venir. |
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