En guise de joyeux Noël, j’ai dû affronter une campagne de coups bas initiée par un opposant belfortain et prolongée au plan national par les déclarations d’un adjoint au maire de Paris, à propos des deux appartements que j’occupe dans les deux villes entre lesquelles je partage mon temps. Ceux qui veulent me détruire, n’ayant rien trouvé à me reprocher ni quant à la gestion des affaires publiques à laquelle j’ai été associé pendant des décennies, ni quant à mon intégrité personnelle, en sont ainsi réduits à la politique des boules puantes. Ils substituent l’insinuation à l’argument.
Retour de vacances, je tiens à préciser vis-à-vis de tous ceux que ce type de campagne pourrait ébranler que je respecte la loi en acquittant notamment un surloyer. On s’est étonné longtemps de ce que je n’aie rien changé à un train de vie relativement modeste, eu égard aux fonctions que j’ai exercées. Aujourd’hui, paradoxalement, on me reproche d’occuper à Paris un logement dans un immeuble à loyer normal (Iln) dont je suis locataire depuis août 1983, date à laquelle j’étais redevenu attaché commercial au ministère de l’Economie et des Finances. Je n’occupe ni un logement du domaine privé de la ville de Paris, ni une HLM et le montant de mon loyer correspond à la prestation fournie. Je ne lèse personne, car au prix que j’acquitte, il n’y a pas de famille modeste qui trouverait à résoudre son problème de logement.
J’ai pu exercer mes mandats politiques en homme libre et je pense l’avoir prouvé en maintes circonstances. J’attends de pied ferme ceux qui pourraient démontrer que je me sois jamais comporté en homme d’argent. Sachant que les positions que j’ai prises, sur maints sujets, m’exposent à toutes les bassesses, comme l’ont montré des livres récents, je ne me laisserai dévier de la ligne politique qui est la mienne par aucune cabale. Je me réserve d’utiliser, le cas échéant, tous les moyens de droit contre ceux qui dégradent la politique par ce type de pratique.
Je pense pouvoir encore être utile à la vie politique française et je continuerai donc à m’exprimer librement en fonction de ce que je crois être l’intérêt de la République.
Retour de vacances, je tiens à préciser vis-à-vis de tous ceux que ce type de campagne pourrait ébranler que je respecte la loi en acquittant notamment un surloyer. On s’est étonné longtemps de ce que je n’aie rien changé à un train de vie relativement modeste, eu égard aux fonctions que j’ai exercées. Aujourd’hui, paradoxalement, on me reproche d’occuper à Paris un logement dans un immeuble à loyer normal (Iln) dont je suis locataire depuis août 1983, date à laquelle j’étais redevenu attaché commercial au ministère de l’Economie et des Finances. Je n’occupe ni un logement du domaine privé de la ville de Paris, ni une HLM et le montant de mon loyer correspond à la prestation fournie. Je ne lèse personne, car au prix que j’acquitte, il n’y a pas de famille modeste qui trouverait à résoudre son problème de logement.
J’ai pu exercer mes mandats politiques en homme libre et je pense l’avoir prouvé en maintes circonstances. J’attends de pied ferme ceux qui pourraient démontrer que je me sois jamais comporté en homme d’argent. Sachant que les positions que j’ai prises, sur maints sujets, m’exposent à toutes les bassesses, comme l’ont montré des livres récents, je ne me laisserai dévier de la ligne politique qui est la mienne par aucune cabale. Je me réserve d’utiliser, le cas échéant, tous les moyens de droit contre ceux qui dégradent la politique par ce type de pratique.
Je pense pouvoir encore être utile à la vie politique française et je continuerai donc à m’exprimer librement en fonction de ce que je crois être l’intérêt de la République.