Le Président Béji Caïd Essebsi que j’avais rencontré le 22 février dernier restera comme la figure tutélaire de la jeune démocratie tunisienne refondée en 2014.
Il a été le trait d’union entre la Tunisie indépendante de Bourguiba et le Printemps arabe réussi de la Tunisie.
Je m’incline devant sa disparition et exprime ma peine et ma profonde sympathie à son fils et à sa famille, ainsi qu’à Monsieur le Premier ministre, Youssef Chahed et à l’ensemble du peuple tunisien.
Je forme des vœux ardents pour que les prochaines élections permettent de consolider les acquis démocratiques de la Tunisie afin que celle-ci reste le phare de la démocratie dans le monde arabe.
Il a été le trait d’union entre la Tunisie indépendante de Bourguiba et le Printemps arabe réussi de la Tunisie.
Je m’incline devant sa disparition et exprime ma peine et ma profonde sympathie à son fils et à sa famille, ainsi qu’à Monsieur le Premier ministre, Youssef Chahed et à l’ensemble du peuple tunisien.
Je forme des vœux ardents pour que les prochaines élections permettent de consolider les acquis démocratiques de la Tunisie afin que celle-ci reste le phare de la démocratie dans le monde arabe.