Jean Moulin, qui l’avait connu en 1937 au cabinet du Ministre de l’Air de l’époque l’appela auprès de lui en novembre 1940 dans le groupe de ses collaborateurs les plus intimes.
Robert Chambeiron y fut notamment chargé de la préparation et de l’organisation de la réunion du 27 mai 1943 à Paris où fut créé sous la présidence de Jean Moulin le Conseil National de la Résistance (CNR) qui apporta au général de Gaulle l’adhésion de la Résistance unanime, favorisant ainsi la légitimité du chef de la France Libre que lui contestaient jusqu’alors les Américains et écartant par là même le plan américain de création d’une force alliée chargée d’administrer la France au fur et à mesure de la libération de son territoire.
Jusqu’à la Libération, Robert Chambeiron assuma la responsabilité de secrétaire général adjoint du CNR dont il est aujourd’hui le seul survivant.
Après la Libération, il participa aux côtés d’autres personnalités issues de la Résistance à la création de l'Union Progressiste dont il fut le secrétaire général. Il fut membre de la délégation syndicale internationale invitée à l’occasion de la création de l’ONU à San Francisco. Il fut ensuite plusieurs fois élu à l’Assemblée nationale et au Parlement européen.
Robert Chambeiron y fut notamment chargé de la préparation et de l’organisation de la réunion du 27 mai 1943 à Paris où fut créé sous la présidence de Jean Moulin le Conseil National de la Résistance (CNR) qui apporta au général de Gaulle l’adhésion de la Résistance unanime, favorisant ainsi la légitimité du chef de la France Libre que lui contestaient jusqu’alors les Américains et écartant par là même le plan américain de création d’une force alliée chargée d’administrer la France au fur et à mesure de la libération de son territoire.
Jusqu’à la Libération, Robert Chambeiron assuma la responsabilité de secrétaire général adjoint du CNR dont il est aujourd’hui le seul survivant.
Après la Libération, il participa aux côtés d’autres personnalités issues de la Résistance à la création de l'Union Progressiste dont il fut le secrétaire général. Il fut membre de la délégation syndicale internationale invitée à l’occasion de la création de l’ONU à San Francisco. Il fut ensuite plusieurs fois élu à l’Assemblée nationale et au Parlement européen.