Au plan national, le premier tour des élections législatives a mis en avant avec la NUPES une coalition faite de « bric et de broc » d’où n’émerge aucun projet cohérent. Jean-Luc Mélenchon a décidé de ne pas se représenter aux élections législatives, on comprend pourquoi : il n’entend pas, le moment venu, « payer la facture ».
Il faut bien constater que l’élan a manqué à la majorité présidentielle. Celui-ci ne peut procéder que d’un projet plus affirmé, notamment dans le domaine industriel. Il faut espérer pour la France que la majorité saura trouver cet élan en tous domaines.
« Refondation républicaine » y contribuera de son mieux. Dans les circonscriptions dites de reconquête, deux de ses candidates, Mme Marie-Annick Duhard (dans la 1re circonscription de l’Orne) et Mme Estelle Folest (6e circonscription du Val d’Oise) l’emporteront au deuxième tour avec le concours de tous les Français qui gardent une ambition pour la France.
À titre personnel, je tiens à exprimer toute ma sympathie à Jean-Michel Blanquer qui avait choisi une circonscription difficile après son départ du gouvernement. Là encore il s’en est fallu de peu, que l’ancien ministre de l’Éducation nationale puisse être présent au second tour. Seule la poussée de l’extrême-droite l’en a privée. Il manquera dans le débat qui s’engagera à l’Assemblée nationale sur les grands enjeux de l’éducation, mais il restera présent dans la vie publique pour défendre et illustrer son action réformatrice et sa défense constante de la laïcité, plus nécessaire aujourd’hui que jamais.
Il faut bien constater que l’élan a manqué à la majorité présidentielle. Celui-ci ne peut procéder que d’un projet plus affirmé, notamment dans le domaine industriel. Il faut espérer pour la France que la majorité saura trouver cet élan en tous domaines.
« Refondation républicaine » y contribuera de son mieux. Dans les circonscriptions dites de reconquête, deux de ses candidates, Mme Marie-Annick Duhard (dans la 1re circonscription de l’Orne) et Mme Estelle Folest (6e circonscription du Val d’Oise) l’emporteront au deuxième tour avec le concours de tous les Français qui gardent une ambition pour la France.
À titre personnel, je tiens à exprimer toute ma sympathie à Jean-Michel Blanquer qui avait choisi une circonscription difficile après son départ du gouvernement. Là encore il s’en est fallu de peu, que l’ancien ministre de l’Éducation nationale puisse être présent au second tour. Seule la poussée de l’extrême-droite l’en a privée. Il manquera dans le débat qui s’engagera à l’Assemblée nationale sur les grands enjeux de l’éducation, mais il restera présent dans la vie publique pour défendre et illustrer son action réformatrice et sa défense constante de la laïcité, plus nécessaire aujourd’hui que jamais.