La mort de François Nicoullaud attristera profondément tous ceux qui, comme moi, appréciaient non seulement le serviteur de l’État impeccable mais aussi l’homme de convictions, mettant son intelligence et sa probité au service de la paix.
S’il s’est illustré par ses brillantes qualités tout au long d’une carrière très riche, c’est sur la question de l’Iran, où il avait été ambassadeur pendant quatre ans (2001-2005) qu’il a donné toute sa mesure, montrant une connaissance approfondie du dossier et de la psychologie de ses acteurs, jusqu’à en devenir l’un des meilleurs spécialistes. Avec François Nicoullaud, auquel je veux associer sa femme Christiane, elle aussi prématurément disparue en septembre dernier, je perds un ami fidèle et la Fondation Res Publica un de ses meilleurs esprits.
S’il s’est illustré par ses brillantes qualités tout au long d’une carrière très riche, c’est sur la question de l’Iran, où il avait été ambassadeur pendant quatre ans (2001-2005) qu’il a donné toute sa mesure, montrant une connaissance approfondie du dossier et de la psychologie de ses acteurs, jusqu’à en devenir l’un des meilleurs spécialistes. Avec François Nicoullaud, auquel je veux associer sa femme Christiane, elle aussi prématurément disparue en septembre dernier, je perds un ami fidèle et la Fondation Res Publica un de ses meilleurs esprits.