Agenda et médiasJean-Pierre Chevènement était l'invité de BFM TV lundi 10 janvier dans l'émission "L'invité de Ruth Elkrief". L'émission est podcastée ci-dessous.
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Rédigé par Chevenement.fr le 11 Janvier 2011 à 13:06
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Agenda et médiasJean-Pierre Chevènement était l'invité de France Culture mardi 11 janvier à 7h40. Il répondait aux questions de Marc Voinchet. L'émission est podcastée ci-dessous.
Verbatim express:
Jean-Pierre Chevènement était l'invité de C'est-à-dire sur France 5. Il répondait aux questions d'Axel de Tarlé. L'émission est podcastée ci-dessous.
Verbatim express:
Dépêche AFP, lundi 10 janvier 2011, 20h42.
Le président d'honneur du MRC, Jean-Pierre Chevènement, qui a récemment évoqué une possible candidature en 2012, s'est défini lundi comme le seul, à l'exception de Philippe Séguin, à avoir développé l'idée d'"une autre Europe" construite sur "les nations".
Invité lundi soir de BFM-TV, M. Chevènement était interrogé sur le fait que "pas mal" de "candidats ou de personnalités" tenaient un discours similaire au sien sur l'Europe. "Je vous interdis de dire ça", a-t-il alors répondu à son interlocutrice. "Il n'y a aucune personne en dehors de moi, peut-être on peut entendre un peu (Nicolas) Dupont-Aignan et un peu (Jean-Luc) Mélenchon. Mais d'une manière construite, argumentée, continue, depuis 20 ans, il n'y a vraiment que moi -- et Philippe Séguin mais malheureusement il est mort -- qui aie développé l'idée d'une autre Europe, qui se fasse non pas sans les nations, voire contre elles, mais avec elles et avec la France", a fait valoir le sénateur de Belfort. "Aujourd'hui, (la gauche) n'est pas à la hauteur, parce qu'elle n'envisage rien d'autre, comme M. Sarkozy d'ailleurs, que la fuite en avant, dans une intégration qui n'a pas de signification", a-t-il poursuivi. Dominique Strauss-Kahn, "je l'aime bien" mais "il ne croit pas à l'avenir des nations", "il dit 'je veux transférer les pouvoirs à la commission' (européenne). Moi, je ne me sens pas vraiment capable de voter pour un candidat qui propose quelque chose d'aussi absurde". "On verra ce que je ferai: soit je serai candidat, soit j'indiquerai le candidat républicain pour lequel il faut voter, celui qui redonne un avenir à la France et à sa jeunesse", a ajouté le sénateur, 71 ans, déjà candidat à la présidentielle de 2002 (5,33% au 1er tour). Il répondra aux questions de Marc Voinchet de 7h40 à 7h55 et participera à la suite de l'émission jusqu'à 9h.
L'émission sera podcastée sur le blog.
Mots-clés :
france culture
Jean-Pierre Chevènement est lundi 10 janvier 2011 l'invité de France 5 dans l'émission "C à dire" entre 17h30 et 17h45 et sur BFM TV dans l'émission "L'invité de Ruth Elkhrief" à 19h30.
Les deux émissions seront podcastées sur le blog.
Agenda et médiasJean-Pierre Chevènement était l'invité du Grand Entretien de RCJ dimanche 9 janvier à 11h. Voici le podcast et le verbatim "express" de l'émission ci-dessous.
Verbatim express:
Dépêche AFP, dimanche 9 janvier 2011, 14h47
Le président d'honneur du MRC, Jean-Pierre Chevènement, a appelé dimanche le patron socialiste du FMI, Dominique Strauss-Kahn, "à trouver rapidement son chemin de Damas".
"Il ne croit pas à l'avenir de la nation française. Il croit que la France est finie, il se prononce pour une nation européenne dont d'ailleurs il ne sait pas très exactement où s'arrêteraient les limites", a déclaré l'ancien ministre sur la Radio de la communauté juive (RCJ). "Donner tous les pouvoirs à M. Barroso (le président de la Commission européenne, ndlr) comme il le propose, ça n'a pas de sens et ça ne convaincra pas les Français. Donc j'invite Dominique Strauss-Kahn à trouver rapidement son chemin de Damas", a-t-il ajouté. Interrogé sur la repentance de la France pour le régime de Vichy, il a estimé qu'on était "allé trop loin dans la repentance et que Jacques Chirac n'a pas commis une bonne action en disant que la France, et non pas l'Etat français, avait commis l'irréparable". "Je pense que c'est l'Etat français de Vichy qui s'est profondément et définitivement déshonoré. Ce n'est pas la masse du peuple français qui était un peuple prostré en 1940 par une défaite soudaine", a fait valoir M. Chevènement. Pour lui, "le peuple français s'est très vite éloigné de Pétain" et "il faut revenir à une vision plus juste qui permette au peuple français de retrouver une estime de soi et de son histoire". |
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