Il était l'invité des débats du soir de France Info vendredi 1er février à 18h45. L'émission est podcastée ci-dessous.


Jean-Pierre Chevènement invité de France Info sur le thème : Faut-il renforcer l’autorité à l’école ?
L’affaire du collège de Berlaimont, dans le Nord, relance le débat autour de l’autorité en milieu scolaire : après une altercation violente en classe, qui s’est terminée par une gifle assénée par un professeur à l’un de ses élèves, l’enseignant devra comparaître devant la justice, et le collégien a été exclu pour 3 jours de l’établissement.

Quelle attitude doivent adopter les enseignants ? Quelle responsabilité des parents ? Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de l’Education Nationale, et Natacha Polony, agrégée de lettres modernes, et chargée des pages « éducation » au sein de l’hebdomadaire Marianne en débattent.

Voir sur le site de France Info.
Mots-clés : autorité école

Rédigé par Chevenement.fr le 2 Février 2008 à 17:27 | Permalien | Commentaires (3)

Jean-Pierre Chevènement fera partie des intervenants à la tribune, samedi 2 février à 14h30 à Paris (Halle Carpentier).


Traité de Lisbonne : grand rassemblement populaire le samedi 2 février pour exiger un référendum !
Traité européen : Pour un référendum / Non au déni de démocratie !

Le Comité national pour un référendum (CNR) appelle à un grand rassemblement populaire.

Lundi 4 février, le Congrès des parlementaires se réunit à Versailles pour voter la modification de Constitution nécessaire à la ratification du nouveau traité européen. Ce traité s’inscrit dans la suite du Traité constitutionnel rejeté par une majorité en France et aux Pays-bas, par référendum.

Nicolas Sarkozy veut contourner le vote populaire et refuse le référendum. S’il persiste dans son refus de donner la parole au peuple sur un texte qui engage l’avenir du pays, les députés et sénateurs peuvent l’y contraindre, si 2/5 d’entre eux cotent contre la révision de la Constitution, le 4 février, à Versailles. Et cela, quelle que soit leur positon sur le traité.

Dans la diversité de nos opinions, nous appelons en urgence à nous retrouver ensemble, tous ensemble, le 2 février, pour empêcher ce déni de démocratie et exiger la tenue d’un référendum !

Halle Carpentier - 81 boulevard Massena - Paris 13° - M° Porte d’Ivry (voir le plan d'accès ci-dessous).

Rédigé par Chevenement.fr le 31 Janvier 2008 à 11:30 | Permalien | Commentaires (4)

Les actes du colloque du 21 novembre sont disponibles en ligne sur le site de la Fondation Res Publica.


Actes du colloque de la Fondation Res Publica : L'Asie du Sud-Est entre ses géants

Rédigé par Chevenement.fr le 29 Janvier 2008 à 16:00 | Permalien | Commentaires (0)

Il interviendra sur le thème : "40 ans au service de la gauche, de la République et de la France".


Jean-Pierre Chevènement invité d'HEC Débats mercredi 6 février à 20h30
Lieu :
Campus du Groupe HEC
1, rue de la Libération
78351 Jouy en Josas cedex
Amphi Tézenas (H307)

Vous pouvez visiter le groupe d'HEC Débats sur Facebook et voir l'événement ici.

Pour accéder au campus d'HEC, visiter la page du site de l'école ici ou le plan Google maps ci-dessous

Rédigé par Chevenement.fr le 29 Janvier 2008 à 11:50 | Permalien | Commentaires (0)

La maxi traîtrise du Traité de Lisbonne, Christian Hutin, Marianne2.fr, lundi 28 janvier.


Les raisons de refuser ce traité sont nombreuses mais je n'en citerai que quelques unes qui me paraissent fondamentales.
Lire la tribune sur le site Marianne2.fr

Rédigé par Chevenement.fr le 28 Janvier 2008 à 19:51 | Permalien | Commentaires (6)

Texte de l'intervention de Christophe Guilluy (géographe-consultant (Cabinet Maps), co-auteur avec Christophe Noyé de Atlas des nouvelles fractures sociales en France (Autrement, 2006)) au colloque de la Fondation Res Publica du 14 janvier 2008, Territoires et classes sociales en France dans la mondialisation.


Christophe Guilluy pendant le colloque de la Fondation Res Publica
Christophe Guilluy pendant le colloque de la Fondation Res Publica
Bonsoir. Je vais essayer, en une vingtaine de minutes, de vous brosser la nouvelle géographie sociale qui structure aujourd’hui le pays. J’ai réalisé avec Christophe Noyé un atlas des nouvelles fractures sociales. Consultants l’un et l’autre, nous travaillons sur l’ensemble des territoires de la politique de la ville mais aussi sur les territoires périurbains et ruraux.

Un constat s’impose : les discours entendus ne reflètent pas la réalité des dynamiques en cours, notamment celle de la dynamique de recomposition sociale des territoires. La perception des territoires est le fruit de deux héritages historiques - celui de la révolution industrielle et celui de la période des Trente Glorieuses - mais aussi d’une construction médiatique (peut être plus puissante).

La vision dix-neuvièmiste des territoires oppose les quartiers ouvriers et les régions industrielles aux quartiers bourgeois et aux régions plus tertiaires. Héritée de la révolution industrielle, cette géographie est en train de s’effacer.
Une autre géographie est venue compléter ce dispositif. Il s’agit de la géographie sociale héritée des Trente glorieuses, la géographie de la moyennisation de la société française, celle de la France pavillonnaire, la France du périurbain devenant, au delà des villes, la France des classes moyennes en voie d’ascension sociale. Cette géographie, elle aussi, est en train d’évoluer, de se transformer et, dans une certaine mesure, de s’effacer.

Qu’elles soient héritées de la révolution industrielle ou de la période des Trente glorieuses, ces perceptions de la géographie sociale ont un défaut : elles ne prennent pas en compte les effets considérables de la mondialisation sur la recomposition économique et sociale des territoires.

Rédigé par Chevenement.fr le 27 Janvier 2008 à 17:41 | Permalien

Dépêche AFP, vendredi 25 janvier, 18h09.


Société Générale: «ne pas s'en tirer avec un bouc émissaire» (Chevènement)
Jean-Pierre Chevènement a affirmé vendredi, à propos des pertes de la Société Générale consécutives à une "fraude", qu'il ne fallait pas "s'en tirer en cherchant un bouc émissaire", estimant que la responsabilité est à rechercher dans "la logique d'une finance devenue folle".
Cette affaire montre que "c'est le règne de l'opacité la plus totale, c'est la logique d'une finance qui n'est pas seulement aveugle, mais qui est devenue folle", a déclaré le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), interrogé par l'AFP.
"Aveugle parce que l'opacité règne, et folle parce qu'on est très loin de l'économie réelle. On est dans le virtuel pur", a-t-il ajouté.
Selon M. Chevènement, "c'est la dure loi du profit à très court terme qui est en cause, beaucoup plus que ce trader désigné à la vindicte publique. Peut-être le mérite-t-il, mais je pense que l'arbre ne doit pas cacher la forêt".
"Il est pas souhaitable qu'on s'en tire en cherchant un bouc émissaire. Il faut faire une analyse plus profonde et se méfier de la méthode Coué. C'est quand même le sixième des capitaux de la Société Générale qui part en fumée! On peut quand même s'interroger sur l'origine de ces pertes abyssales", a poursuivi l'ancien ministre, dont la fondation Res Publica vient de publier les actes d'un colloque sur "les crises financières à répétition".

Rédigé par Chevenement.fr le 25 Janvier 2008 à 22:30 | Permalien | Commentaires (10)

Carnet de Jean-Pierre Chevènement



La société des rédacteurs du Monde mène un combat exemplaire pour la liberté de l’esprit. Dans un univers médiatique de plus en plus verrouillé par les forces de l’Argent, il faut que tous les républicains se mobilisent pour soutenir l’effort de la SRM qui lutte contre une recapitalisation qui ferait de Lagardère et du groupe espagnol Prisa les véritables patrons d’un journal qui fut jadis le symbole de l’indépendance et de l’objectivité (au moins tendancielle). Il faut à tout prix préserver les prérogatives de la SRM.

Je l’écris d’autant plus librement que les choses s’étaient beaucoup dégradées il y a quelques années, quand MM. Colombani et Plenel étaient venus m’expliquer, le samedi 13 février 1999, dans mon bureau de ministre de l’Intérieur, comment Le Monde entendait imposer sa politique et son ton au gouvernement lui-même (1) .

Je ne tire pas de cette conjonction ponctuelle de la bienpensance et du capital plus de conséquences qu’il n’est nécessaire. MM. Plenel et Colombani ont passé la main. Le Capital, lui, n’entend pas relâcher son étreinte. Il veut devenir le seul maître à bord. La gauche française serait bien inspirée de se mobiliser pour sauvegarder ce qui reste de la liberté de la presse.

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1) Défis Républicains, annexe V, p. 521, Editions Fayard, sept.2004

Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 24 Janvier 2008 à 13:12 | Permalien | Commentaires (1)
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