Le résultat des élections municipales à Belfort amplifie un mouvement national qui est lui-même sans surprise.
A Belfort, le score de la gauche dans son ensemble, mais plus encore celui du maire sortant, sont à un étiage bas, historiquement sans précédent.
L’exigence d’une refondation de la gauche passe à l’évidence, au niveau national par la réorientation de la politique économique et donc de la construction européenne, et à Belfort, par un profond renouvellement du personnel politique.
Bastien Faudot a porté l’exigence de cette réorientation et de ce renouvellement en réalisant un score nettement supérieur à celui que lui attribuait le sondage BVA réalisé avant même qu’il ait publié sa liste.
Un électrochoc peut seul remettre Belfort dans la voie du progrès. C’est l’intérêt de la gauche toute entière que d’y procéder sans tarder.
Cet électrochoc passe par un accord PS/MRC sur le renouvellement des têtes de listes à la Ville et à la CAB.
Sur cette base, le rassemblement de toutes les forces de progrès et la mobilisation au 2nd tour des abstentionnistes du premier (44% des inscrits !) peuvent encore inverser la tendance.
A Belfort, le score de la gauche dans son ensemble, mais plus encore celui du maire sortant, sont à un étiage bas, historiquement sans précédent.
L’exigence d’une refondation de la gauche passe à l’évidence, au niveau national par la réorientation de la politique économique et donc de la construction européenne, et à Belfort, par un profond renouvellement du personnel politique.
Bastien Faudot a porté l’exigence de cette réorientation et de ce renouvellement en réalisant un score nettement supérieur à celui que lui attribuait le sondage BVA réalisé avant même qu’il ait publié sa liste.
Un électrochoc peut seul remettre Belfort dans la voie du progrès. C’est l’intérêt de la gauche toute entière que d’y procéder sans tarder.
Cet électrochoc passe par un accord PS/MRC sur le renouvellement des têtes de listes à la Ville et à la CAB.
Sur cette base, le rassemblement de toutes les forces de progrès et la mobilisation au 2nd tour des abstentionnistes du premier (44% des inscrits !) peuvent encore inverser la tendance.