La crise du capitalisme financier mondialisé ne sera pas réglée par les décisions timorées prises au sommet de Pittsburgh. Les déséquilibres économiques majeurs au niveau de l’épargne ou du commerce extérieur n’ont pas été corrigés, mais accrus par les plans de relance, notamment américains.
Le système monétaire international fondé sur la prééminence du dollar ne subsiste qu’avec l’aval de la Chine. Les boniments sur la « moralisation » du capitalisme ont fait long feu. Ce qu’on appelle « la crise » manifeste la contradiction entre le capital financier et les intérêts généraux de l’Humanité. Tant que le capital financier régnera en maître, nous ne serons pas tirés d’affaire !
Des réformes profondes s’imposeront dans les années venir :
- pour réformer la fiscalité et relancer l’idée d’une « politique des revenus » ;
- pour mettre en œuvre des politiques industrielles cohérentes ;
- pour relancer les économies sur la base d’un nouveau modèle de croissance à l’échelle mondiale ;
- pour réformer le système monétaire international ;
- pour créer les conditions d’une concurrence équitable dans le commerce international.
Le système monétaire international fondé sur la prééminence du dollar ne subsiste qu’avec l’aval de la Chine. Les boniments sur la « moralisation » du capitalisme ont fait long feu. Ce qu’on appelle « la crise » manifeste la contradiction entre le capital financier et les intérêts généraux de l’Humanité. Tant que le capital financier régnera en maître, nous ne serons pas tirés d’affaire !
Des réformes profondes s’imposeront dans les années venir :
- pour réformer la fiscalité et relancer l’idée d’une « politique des revenus » ;
- pour mettre en œuvre des politiques industrielles cohérentes ;
- pour relancer les économies sur la base d’un nouveau modèle de croissance à l’échelle mondiale ;
- pour réformer le système monétaire international ;
- pour créer les conditions d’une concurrence équitable dans le commerce international.
La France, nation politique, peut beaucoup pour inspirer cette « sortie de crise ». Encore faut-il couper le cou aux idées fausses, comme l’idée de « décroissance » propagée par les Verts. Croissance écologique oui, décroissance non. Les besoins de l’Humanité sont immenses et les ressources de l’esprit humain sont immenses.
Maintenir la gauche sur ses fondamentaux républicains, c’est-à-dire sur une approche rationnelle de la politique et des phénomènes sociaux, cette tâche incombe particulièrement au MRC, alors que se mettent en place, peu à peu, les conditions que nous appelions de nos vœux, pour que s’organisent enfin des « Assises de la gauche », étape indispensable dans la voie d’une refondation républicaine. Le combat sera rude, car la tentation de fuir dans un prophétisme obscurantiste guette la gauche, non seulement en France, mais dans toute l’Europe. Perdre nos repères républicains serait faire le jeu de nos adversaires.
Les maîtres de la Finance, après avoir été renfloués, entendent bien que tout continue comme avant. La refondation d’une gauche digne de ce nom se fera dans l’action. Une action fidèle aux deux valeurs cardinales qui ont toujours sous-tendu notre entreprise : la volonté de raison et la lutte pour l’égalité réelle des droits, permettant à chacun d’épanouir toutes ses capacités. La crise du capitalisme financier globalisé nous jette un défi sans précédent : notre but est de substituer à « la logique des marchés », celle des maîtres de la finance, une autre logique, celle de la démocratie appuyée sur la volonté des peuples, tant il est vrai que l’Histoire ne se fait pas sur les marchés financiers, mais toujours, en dernier ressort, sur le terrain des luttes politiques.
A nous donc de les impulser pour sortir la gauche française et la gauche européenne de leur coma !
Le MRC peut être et sera, si nous le voulons, l’étincelle de ce renouveau.
Maintenir la gauche sur ses fondamentaux républicains, c’est-à-dire sur une approche rationnelle de la politique et des phénomènes sociaux, cette tâche incombe particulièrement au MRC, alors que se mettent en place, peu à peu, les conditions que nous appelions de nos vœux, pour que s’organisent enfin des « Assises de la gauche », étape indispensable dans la voie d’une refondation républicaine. Le combat sera rude, car la tentation de fuir dans un prophétisme obscurantiste guette la gauche, non seulement en France, mais dans toute l’Europe. Perdre nos repères républicains serait faire le jeu de nos adversaires.
Les maîtres de la Finance, après avoir été renfloués, entendent bien que tout continue comme avant. La refondation d’une gauche digne de ce nom se fera dans l’action. Une action fidèle aux deux valeurs cardinales qui ont toujours sous-tendu notre entreprise : la volonté de raison et la lutte pour l’égalité réelle des droits, permettant à chacun d’épanouir toutes ses capacités. La crise du capitalisme financier globalisé nous jette un défi sans précédent : notre but est de substituer à « la logique des marchés », celle des maîtres de la finance, une autre logique, celle de la démocratie appuyée sur la volonté des peuples, tant il est vrai que l’Histoire ne se fait pas sur les marchés financiers, mais toujours, en dernier ressort, sur le terrain des luttes politiques.
A nous donc de les impulser pour sortir la gauche française et la gauche européenne de leur coma !
Le MRC peut être et sera, si nous le voulons, l’étincelle de ce renouveau.