Jean-Pierre Chevènement, candidat du MRC à la présidentielle, a salué mardi "le bon sens" de François Hollande qui a proposé de moduler le quotient familial, jugeant normal de "plafonner ses effets pour les couches les plus aisées".
Interrogé sur i-Télé, le sénateur de Belfort a commencé par déplorer une "campagne molle et violente faite de coups de communication" entre la taxe sur les transactions financières, la TVA sociale, le quotient familial ou les chiffres de l'immigration ("un coup électoraliste, ça se joue ente le FN et l'UMP!"). "On oublie donc le problème au coeur du défi devant nous : la crise de la monnaie unique", a-t-il dénoncé.
Sur le quotient familial, M. Chevènement a souligné que "le système marche", prévenant : "il faut faire très attention, si on veut le toucher, aux effets pervers".
Dire comme le fait François Hollande qu'il ne faut pas supprimer le quotient familial mais l'amender, "c'est le bon sens", a dit l'ancien ministre, trouvant "pas normal qu'il ne soit pas plafonné pour les revenus supérieurs, les 20% de gens qui gagnent le plus".
Pour le candidat MRC, il faut "conserver le quotient familial en plafonnant ses effets pour les couches les plus aisées et en donnant une allocation familiale supplémentaire aux couches les moins favorisées pour introduire plus de justice dans le système".
Interrogé sur i-Télé, le sénateur de Belfort a commencé par déplorer une "campagne molle et violente faite de coups de communication" entre la taxe sur les transactions financières, la TVA sociale, le quotient familial ou les chiffres de l'immigration ("un coup électoraliste, ça se joue ente le FN et l'UMP!"). "On oublie donc le problème au coeur du défi devant nous : la crise de la monnaie unique", a-t-il dénoncé.
Sur le quotient familial, M. Chevènement a souligné que "le système marche", prévenant : "il faut faire très attention, si on veut le toucher, aux effets pervers".
Dire comme le fait François Hollande qu'il ne faut pas supprimer le quotient familial mais l'amender, "c'est le bon sens", a dit l'ancien ministre, trouvant "pas normal qu'il ne soit pas plafonné pour les revenus supérieurs, les 20% de gens qui gagnent le plus".
Pour le candidat MRC, il faut "conserver le quotient familial en plafonnant ses effets pour les couches les plus aisées et en donnant une allocation familiale supplémentaire aux couches les moins favorisées pour introduire plus de justice dans le système".