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Verbatim Express
- Nous avons pu mesurer l'efficacité de nos forces armées.
- La France maîtrise l'espace au Mali mais elle ne maîtrise pas le temps.
- Il faut distinguer : la force Serval engagé au Nord du Mali avec les forces tchadiennes auxquelles je rend hommage ; d'autre part la Misma, les forces américaines de la Cedecao. Il faut avoir une vue plus longue. Si Aqmi a pu s'imposer au mali, c'est parce que l'Etat était en train de se décomposer.
- Il faut aller très vite aux élections au Mali et il faut penser à un plan de développement du Sahel tout entier, avec l'ensemble des pays, à commencer par l'Algérie.
- Les armes viennent de Libye ou sont des armes américaines que les forces maliennes ont abandonné.
- La force de France est là, rassemblée, les meilleurs éléments, des forces spéciales remarquables.
- Il faut casser les reins des islamistes, jusqu'au moment où ils manifesteraient une volonté de se rendre, mais c'est assez peu probable compte tenu de leur état d'esprit. Il faut pour autant toujours laisser un pont derrière l'ennemi.
- Nous insisterons sur les conditions politiques à réunir, la capacité à prendre en compte tout le champ sahélien.
- Il faut penser à l'après. Il faut aussi restaurer la République et l'Etat du Mali.
- On ne peut pas descendre en dessous d'un budget de la défense de 1,5% du PIB.
- Je refuse le déclassement de la France.
- Le budget de la Défense ne doit pas être diminué, ce n'est pas le moment.
- Il faut reposer le problème de la zone euro et de son fonctionnement, des priorités définies par Mme Merkel et que les autres peuples d'Europe ne feront pas forcément leurs.
- Le Président de la République a fixé un objectif clair: le retour de la compétitivité de l'économie française. Je pense que c'est un objectif tout à fait judicieux, je le soutiens.
- Il y a une discussion sur les moyens.
- Le pacte de compétitivité a été accepté, le rapport Gallois a été approuvé par le gouvernement, il faut maintenant le mettre en application, mais je veux qu'on voit le problème dans un contexte plus général qui est celui de la relance à l'échelle européenne et aussi mondiale.
- Sur Maastricht, j'ai eu raison : on ne pouvait pas mettre sous le toit de la monnaie unique des économies trop différentes, et on le voit aujourd'hui.
- Le mot coopération doit avoir un sens et l'Allemagne doit jouer le rôle de locomotive et qu'on n'écrase pas le peuple grec, le peuple portugais, le peuple italien, le peuple espagnol et… le peuple français sous des disciplines budgétaires qui n'ont pas vraiment de sens.
- L'Allemagne elle-même subit le contre choc de cette récession.
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