Lors du sommet de Bruxelles, les 17 se sont entendus sur le fait que ce sont les contribuables allemands et français qui devront payer. Les banques ont réussi à échapper à la taxation. Une boîte à outil leur est offerte dans laquelle elles devront puiser pour s’acquitter d’ici 2020 d’une modeste contribution de 135 milliards d’euros. C’est très peu, eu égard aux montagnes de dette qu’il faudra résorber et, de surcroit, c’est aléatoire.
Les missions du Fonds européen de stabilité financière ont été considérablement étendues par le sommet de Bruxelles, mais à ce jour ses moyens restent inchangés. Les fonds mobilisables ne sont pas à la hauteur.
Au total le cap de l’austérité budgétaire est maintenu pour toutes les économies européennes. Les 17 se sont bien gardés de toucher aux prérogatives de la BCE. Celles-ci auraient pu être étendues au rachat partiel de la dette.
Les 17 ont préféré ne pas évoquer la réforme de la Banque centrale, ils ont choisi la voie d’une récession généralisée. Celle-ci ne résoudra pas le problème de l’euro, les décisions du 21 juillet ne permettront que de reculer un peu les échéances inévitables : soit une extension des missions de la Banque centrale, soit l’éclatement de la zone euro.
Les missions du Fonds européen de stabilité financière ont été considérablement étendues par le sommet de Bruxelles, mais à ce jour ses moyens restent inchangés. Les fonds mobilisables ne sont pas à la hauteur.
Au total le cap de l’austérité budgétaire est maintenu pour toutes les économies européennes. Les 17 se sont bien gardés de toucher aux prérogatives de la BCE. Celles-ci auraient pu être étendues au rachat partiel de la dette.
Les 17 ont préféré ne pas évoquer la réforme de la Banque centrale, ils ont choisi la voie d’une récession généralisée. Celle-ci ne résoudra pas le problème de l’euro, les décisions du 21 juillet ne permettront que de reculer un peu les échéances inévitables : soit une extension des missions de la Banque centrale, soit l’éclatement de la zone euro.