La faillite de l’euro procède d’un vice fondamental : le traité de Maastricht a voulu ignorer les nations. La réalité aujourd’hui se venge.
Les lilliputiens qui nous gouvernent sont incapables de proposer des solutions à la hauteur du problème: soit changer les missions de la Banque Centrale pour mutualiser les dettes tout en relançant la croissance, soit penser à l’avance la mutation de l’euro, monnaie unique en monnaie commune.
Evidemment ces perspectives sont révolutionnaires. Mais la situation l’est : On attend un homme d’Etat. Nous n’en avons pas: Mme Merkel, soumise à la pression du Bild, ne veut pas que l’Allemagne paye. Quant à Nicolas Sarkozy, il se bat sur la crête du triple A comme jadis Pierre Mauroy sur la crête des 2 millions de chômeurs. Heureusement, nous avons M. Juncker.
Les lilliputiens qui nous gouvernent sont incapables de proposer des solutions à la hauteur du problème: soit changer les missions de la Banque Centrale pour mutualiser les dettes tout en relançant la croissance, soit penser à l’avance la mutation de l’euro, monnaie unique en monnaie commune.
Evidemment ces perspectives sont révolutionnaires. Mais la situation l’est : On attend un homme d’Etat. Nous n’en avons pas: Mme Merkel, soumise à la pression du Bild, ne veut pas que l’Allemagne paye. Quant à Nicolas Sarkozy, il se bat sur la crête du triple A comme jadis Pierre Mauroy sur la crête des 2 millions de chômeurs. Heureusement, nous avons M. Juncker.