Je me suis porté candidat pour saisir l’opinion des enjeux gravissimes pour la France, sa souveraineté, son industrie, l’avenir de sa jeunesse, sa démocratie, sa place en Europe, résultant des décisions en voie d’être prises concernant l’avenir – ou le non-avenir – de la monnaie unique. Ainsi le projet de confier à la Commission européenne un pouvoir d’intrusion dans la procédure budgétaire, apanage du Parlement dans toute démocratie.
Je pensais que sur ce sujet ma voix était légitime pour se faire entendre, étant donné l’antériorité de mes prises de position (1992) et le caractère argumenté de mes propositions (cf. "Sortir la France de l’impasse", Fayard, octobre 2011).
L’Establishment politico-médiatique (spontanément maastrichtien) répond par une campagne de désinformation concernant l’appartement que j’occupe depuis plus de vingt-huit ans, afin de me faire taire et d’obscurcir mon message. Il s’agit d’une "stratégie de distraction", au sens où l’a définie Noam Chomsky ("Dix stratégies de manipulation"). Je cite : "Elément primordial du contrôle social, la stratégie de diversion (ou de distraction) consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes … garder le public occupé, occupé, sans aucun temps pour penser, de retour à la ferme, avec les autres animaux" (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles").
Je pensais que sur ce sujet ma voix était légitime pour se faire entendre, étant donné l’antériorité de mes prises de position (1992) et le caractère argumenté de mes propositions (cf. "Sortir la France de l’impasse", Fayard, octobre 2011).
L’Establishment politico-médiatique (spontanément maastrichtien) répond par une campagne de désinformation concernant l’appartement que j’occupe depuis plus de vingt-huit ans, afin de me faire taire et d’obscurcir mon message. Il s’agit d’une "stratégie de distraction", au sens où l’a définie Noam Chomsky ("Dix stratégies de manipulation"). Je cite : "Elément primordial du contrôle social, la stratégie de diversion (ou de distraction) consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes … garder le public occupé, occupé, sans aucun temps pour penser, de retour à la ferme, avec les autres animaux" (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles").
Sur le fond de l’affaire j’ai demandé à mon avocat de saisir la justice à l’encontre de mon bailleur (la Régie Immobilière de la Ville de Paris). Celui-ci, qui ne m’a adressé une lettre qu’en septembre 2009, nourrit dans les médias depuis décembre 2007 une campagne de désinformation qui a repris comme par hasard quatre jours après ma déclaration de candidature à l’élection présidentielle, le 9 novembre 2011. Je n’aurais aucune peine à répondre aux insanités répandues dans les colonnes de journaux qu’on croyait plus sérieux et moins manipulateurs. Chacun comprendra que je ne m’épuise pas aujourd’hui en "droits de réponse". J’ai d’autres choses à faire. Par contre, je me réserve de saisir la justice à chaque fois que la volonté de diffamation apparaîtra.
Pour avoir démissionné trois fois du gouvernement, ce qui a entrainé une baisse très substantielle de mes revenus (j’étais ainsi attaché commercial au ministère de l’Economie et des Finances en mars 1983) et pour n’avoir jamais perçu aucune rémunération d’origine privée (conseil, audit, société de communication, etc.), je crois pouvoir dire que je ne me suis jamais battu que pour mes idées (que chacun a bien évidemment le droit de contester). C’est à cela que sert l’indemnité parlementaire : à préserver mon entière liberté d’expression et d’action. Que je sache, ma qualité de parlementaire ne suffit pas à me priver de la protection de la loi…
Pour avoir démissionné trois fois du gouvernement, ce qui a entrainé une baisse très substantielle de mes revenus (j’étais ainsi attaché commercial au ministère de l’Economie et des Finances en mars 1983) et pour n’avoir jamais perçu aucune rémunération d’origine privée (conseil, audit, société de communication, etc.), je crois pouvoir dire que je ne me suis jamais battu que pour mes idées (que chacun a bien évidemment le droit de contester). C’est à cela que sert l’indemnité parlementaire : à préserver mon entière liberté d’expression et d’action. Que je sache, ma qualité de parlementaire ne suffit pas à me priver de la protection de la loi…