LCI - Jean-Pierre Chevenement est l'invité politique de Christophe Barbier Vidéo LCIWAT sélectionnée dans Actualité
Verbatim express:
- "La gauche arrivant au pouvoir s'est heurtée au néo-libéralisme triomphant en 1981"
- "L'Europe est désarmée dans un monde dominé par les Etats-Unis et la Chine"
- "Si nous ne voulons pas voir se poursuivre l'érosion de notre base productive (30% en 1982, 13% aujourd'hui), il faut faire baisser l'euro et une initiative européenne de croissance"
- "Le test c'est l'Espagne : si l'Espagne devait faire défaut, nous aurions une crise majeure"
- "Nous devons avoir derrière la tête un plan B
- "La sortie de l'euro : y penser toujours et n'en parler jamais"
- "Nicolas Sarkozy a fait une erreur de trajectoire : il a été téléscopé par une crise qu'il n'avait pas vue"
- "S'il n'y a pas un candidat socialiste qui renouvelle la donne, la gauche peut gagner, mais risque de décevoir"
- "DSK : il est comprétent dit-on mais pour quoi faire ? Quand il propose une autorité budgétaire indépendante sur le modèle de la Banque centrale européenne, je ne suis absolument pas convaincu"
- "Le mot d'ordre c'est la coordination : peser sur les Allemands mais en s'appuyant sur d'autres"
- "J'envisage d'être candidat en 2012 car je ne vois personne entre Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss-Kahn qui puisse être le candidat de l'alternative. J'y réfléchis donc sérieusement."
- "Mélenchon a le mérite d'essayer, mais il cherche à constituer un pôle de radicalité à la gauche. Ce n'est pas mon cas : je m'adresse à tous les Français, et je reste fidèle à ce que je disais en 2002 : ce qui est nécessaire à la France, c'est un candidat qui soit l'homme de la Nation"
- "Déverouiller les 35 heures, c'est une attaque contre le pouvoir d'achat"