Dans l’univers occidental de la vigilance, Hugo Chavez se fait piéger tous les jours. Il s’en fout. Il est ailleurs. Peu importe son anti-impérialisme machinal, il a réintégré des millions d’Indiens dans la démocratie vénézuélienne. Ce sont ces Indiens des favellas qui lui donnent régulièrement ses majorités.
Les classes moyennes blanches, qui tenaient le pouvoir depuis toujours, se pâment d’indignation. Il faut leur laisser le temps de s’habituer. C’est ce que fait Chavez : il donne du temps au temps, de la manière la plus démocratique qui soit.
Notre télévision l’appelle « populiste », alors qu’il n’est que populaire. Cela suffit à les faire enrager !
Les classes moyennes blanches, qui tenaient le pouvoir depuis toujours, se pâment d’indignation. Il faut leur laisser le temps de s’habituer. C’est ce que fait Chavez : il donne du temps au temps, de la manière la plus démocratique qui soit.
Notre télévision l’appelle « populiste », alors qu’il n’est que populaire. Cela suffit à les faire enrager !