Avec Daniel Cordier disparait le dernier grand témoin de ce qu’était la résistance en France. Pour la décrire, rien ne vaut la lecture d’Alias Caracalla, où Daniel Cordier retrace sa vie comme secrétaire de Jean Moulin à Lyon, alors capitale de la résistance.
Daniel Cordier était mû par un pur patriotisme. Il a toujours défendu bec et ongles la mémoire du héros sans l’appui duquel de Gaulle n’eut pu obtenir, de nos alliés anglo-saxons, sa reconnaissance en 1943 comme chef incontestable de la résistance française.
Honneur à Daniel Cordier, ce jeune homme de cinq fois vingt ans et reconnaissance à son engagement héroïque de juin 1940. Sa figure restera comme l'une de celles qui permettent aux Français d’aujourd’hui de regarder leur histoire en face.
Daniel Cordier était mû par un pur patriotisme. Il a toujours défendu bec et ongles la mémoire du héros sans l’appui duquel de Gaulle n’eut pu obtenir, de nos alliés anglo-saxons, sa reconnaissance en 1943 comme chef incontestable de la résistance française.
Honneur à Daniel Cordier, ce jeune homme de cinq fois vingt ans et reconnaissance à son engagement héroïque de juin 1940. Sa figure restera comme l'une de celles qui permettent aux Français d’aujourd’hui de regarder leur histoire en face.