Jean-Pierre Chevènement, candidat MRC à l'élection présidentielle, a estimé vendredi que le texte de loi réprimant la négation des génocides, notamment arménien, voté par l'Assemblée nationale, "portait la marque chez les partis" de la "capitulation face aux lobbies".
"Les lois mémorielles, qu'elles soient de repentance ou d'ingérence, portent en elles-mêmes atteinte à la liberté d'expression, c'est-à-dire à la République elle-même", écrit le sénateur de Belfort dans un communiqué.
Pour M. Chevènement, "le texte voté hier par l'Assemblée nationale porte la marque chez les partis de la perte du sens de l'intérêt national et de la capitulation face aux lobbies".
L'Assemblée nationale a adopté jeudi une proposition de loi pénalisant la contestation de tout génocide, dont celui des Arméniens en 1915 dans l'Empire ottoman, provoquant la colère du gouvernement turc, qui a annoncé des représailles politiques et diplomatiques, et a rappelé son ambassadeur à Paris.
"Les lois mémorielles, qu'elles soient de repentance ou d'ingérence, portent en elles-mêmes atteinte à la liberté d'expression, c'est-à-dire à la République elle-même", écrit le sénateur de Belfort dans un communiqué.
Pour M. Chevènement, "le texte voté hier par l'Assemblée nationale porte la marque chez les partis de la perte du sens de l'intérêt national et de la capitulation face aux lobbies".
L'Assemblée nationale a adopté jeudi une proposition de loi pénalisant la contestation de tout génocide, dont celui des Arméniens en 1915 dans l'Empire ottoman, provoquant la colère du gouvernement turc, qui a annoncé des représailles politiques et diplomatiques, et a rappelé son ambassadeur à Paris.