Jean-Pierre Chevènement, candidat du MRC à la présidentielle, a appelé lundi à "ne pas céder au lobby des Verts" qui veulent "massacrer ce qui reste de notre tissu industriel" lors de la visite de l'usine Areva de Saint-Marcel, en Saône-et-Loire.
"Je demande à ce qu'on ne gâche pas les atouts de la France. Il faut parler avec des arguments sérieux, traiter ce problème de manière responsable et ne pas en faire l'enjeu d'une carabistouille électorale, comme dirait M. Mélenchon", a-t-il ajouté en référence aux négociations entre le PS et Europe Ecologie Les Verts (EELV) qui semblaient achopper sur la question du nucléaire.
"On ne va pas céder au lobby des Verts qui veulent massacrer ce qui reste de notre tissu industriel", a lancé le sénateur du Territoire de Belfort durant son parcours sur le site du groupe nucléaire français dédié à la fabrication de cuves de réacteurs et de générateurs de vapeur.
Souhaitant axer sa campagne présidentielle sur "la réindustrialisation de la France", M. Chevènement a annoncé qu'il visiterait prochainement "des entreprises dans l'aéronautique, l'automobile, la pharmacie" et "l'agroalimentaire".
"Je veux permettre la réindustrialisation de la France. Je sais, comme ancien ministre de l'Industrie, que nous avons perdu la moitié de notre base industrielle", a conclu le candidat du Mouvement républicain et citoyen (MRC), ajoutant que le pays avait perdu, dans le domaine de l'industrie, "plus de 2,5 millions d'emplois depuis le début des années 1980".
"Je demande à ce qu'on ne gâche pas les atouts de la France. Il faut parler avec des arguments sérieux, traiter ce problème de manière responsable et ne pas en faire l'enjeu d'une carabistouille électorale, comme dirait M. Mélenchon", a-t-il ajouté en référence aux négociations entre le PS et Europe Ecologie Les Verts (EELV) qui semblaient achopper sur la question du nucléaire.
"On ne va pas céder au lobby des Verts qui veulent massacrer ce qui reste de notre tissu industriel", a lancé le sénateur du Territoire de Belfort durant son parcours sur le site du groupe nucléaire français dédié à la fabrication de cuves de réacteurs et de générateurs de vapeur.
Souhaitant axer sa campagne présidentielle sur "la réindustrialisation de la France", M. Chevènement a annoncé qu'il visiterait prochainement "des entreprises dans l'aéronautique, l'automobile, la pharmacie" et "l'agroalimentaire".
"Je veux permettre la réindustrialisation de la France. Je sais, comme ancien ministre de l'Industrie, que nous avons perdu la moitié de notre base industrielle", a conclu le candidat du Mouvement républicain et citoyen (MRC), ajoutant que le pays avait perdu, dans le domaine de l'industrie, "plus de 2,5 millions d'emplois depuis le début des années 1980".