Jean-Pierre Chevènement, sénateur du Territoire de Belford et candidat à la présidentielle, a annoncé samedi à l'AFP avoir demandé à son avocat de "saisir la justice à l'encontre" de la ville de Paris à qui il reproche de "nourrir la polémique" sur son appartemant parisien.
"J'ai demandé à mon avocat de saisir la justice à l'encontre de mon bailleur", a déclaré le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), en accusant la "ville de Paris de nourrir contre lui une polémique au sujet d'un appartement" qu'il loue dans la capitale.
"J'ai demandé à mon avocat de saisir la justice à l'encontre de mon bailleur", a déclaré le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), en accusant la "ville de Paris de nourrir contre lui une polémique au sujet d'un appartement" qu'il loue dans la capitale.
Le candidat à la présidentielle loue à la régie immobilière de la ville de Paris (RIVP) un appartement de 120 m2 proche du Panthéon, qu'il occupe depuis 1983, pour 1.519 euros par mois.
La polémique ancienne sur cet appartement est réapparue quelques jours après l'annonce de candidature de M. Chevènement à la présidentielle.
Depuis, l'ancien ministre tente de convaincre que son logement n'est "pas un logement social mais un logement à loyer libre dont le prix est fixé par le bailleur".
"Cette dénomination (de logement social) est le fait du bailleur qui non seulement est libre du prix mais se croit autorisé à discréditer ses locataires par des campagnes de rumeurs organisées. Ce n'est pas comme cela qu'on me fera taire", avait-il fait valoir récemment.
Le sénateur a indiqué en outre à l'AFP être propriétaire de deux appartements, "un de 48m2 et un de 90m2", à Ivry-sur-Seine, confirmant une information de l'Agence Bretagne Presse (ABP) reprise par Libération daté de samedi/dimanche.
"Après mon accident thérapeutique en 1998, il est normal que j'ai eu le souci de constituer pour ma famille des éléments de patrimoine", a-t-il expliqué.
La polémique ancienne sur cet appartement est réapparue quelques jours après l'annonce de candidature de M. Chevènement à la présidentielle.
Depuis, l'ancien ministre tente de convaincre que son logement n'est "pas un logement social mais un logement à loyer libre dont le prix est fixé par le bailleur".
"Cette dénomination (de logement social) est le fait du bailleur qui non seulement est libre du prix mais se croit autorisé à discréditer ses locataires par des campagnes de rumeurs organisées. Ce n'est pas comme cela qu'on me fera taire", avait-il fait valoir récemment.
Le sénateur a indiqué en outre à l'AFP être propriétaire de deux appartements, "un de 48m2 et un de 90m2", à Ivry-sur-Seine, confirmant une information de l'Agence Bretagne Presse (ABP) reprise par Libération daté de samedi/dimanche.
"Après mon accident thérapeutique en 1998, il est normal que j'ai eu le souci de constituer pour ma famille des éléments de patrimoine", a-t-il expliqué.