Le président du Mouvement républicain et citoyen Jean-Pierre Chevènement a déclaré mercredi qu'il ne voyait "pas très bien la différence" entre les quatre grandes motions du PS pour le congrès de Reims, hormis celle de "Benoît Hamon et ses amis qui sont clairement anti-libéraux".
"Je ne vois pas très bien la différence entre eux, sauf peut-être chez Benoît Hamon et ses amis qui sont clairement anti-libéraux. Tous les autres pensent la même chose", a affirmé le nouveau sénateur de Belfort sur i-télé à propos des motions déposées mardi par Bertrand Delanoë, Martine Aubry et Ségolène Royal.
"Le vrai problème c'est la désignation du candidat à la présidentielle" de 2012, a-t-il estimé en prônant l'organisation "de primaires ouvertes à toute la gauche, avec tous les militants, tous les sympathisants".
Selon M. Chevènement, il faut que "le Parti socialiste s'ouvre" et "cesse de s'enfermer dans ses querelles de chefs soutenus par des baronnies", d'être "un parti d'élus et d'affidés".
"Je ne vois pas très bien la différence entre eux, sauf peut-être chez Benoît Hamon et ses amis qui sont clairement anti-libéraux. Tous les autres pensent la même chose", a affirmé le nouveau sénateur de Belfort sur i-télé à propos des motions déposées mardi par Bertrand Delanoë, Martine Aubry et Ségolène Royal.
"Le vrai problème c'est la désignation du candidat à la présidentielle" de 2012, a-t-il estimé en prônant l'organisation "de primaires ouvertes à toute la gauche, avec tous les militants, tous les sympathisants".
Selon M. Chevènement, il faut que "le Parti socialiste s'ouvre" et "cesse de s'enfermer dans ses querelles de chefs soutenus par des baronnies", d'être "un parti d'élus et d'affidés".