Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a estimé dimanche à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire) que les primaires impliquaient "un accord minimal", faute de quoi ce serait "une machine à opérer des désistements automatiques".
Accueilli par Arnaud Montebourg (PS), ordonnateur de la Fête de la Rose dans cette commune bourguignonne, le sénateur de Belfort, qui avait été très sévère sur le processus des primaires, a affirmé: "Je crains que s'il n'y a pas un accord minimal au départ, ce soit une machine à opérer en quelque sorte des désistements automatiques".
Le député socialiste est pour sa part un ardent partisan des primaires dont il a défendu l'idée au PS.
"Il s'agit de mettre la gauche à la hauteur, de bâtir l'équation de la réussite et par conséquent de faire bouger les lignes", a affirmé M. Chevènement, qui juge nécessaire de "parler du fond, du projet".
"C'est la rentrée politique. Un discours de vérité, un discours sur la réussite de la gauche en 2012 ne peut pas faire de mal".
Participera-t-il aux primaires socialistes? "Ca, c'est une autre affaire. Les primaires, ça implique un accord minimal. On va parler du fond", a assuré l'ancien ministre.
Rappelant qu'il avait été pendant 29 ans membre du Parti socialiste, où il a créé et animé le courant Ceres, M. Chevènement, venu "sous l'amicale pression d'Arnaud Montebourg", a ensuite déclaré, en signant le livre d'or de la mairie: "L'essentiel est de réussir. Nous n'avons pas le droit de décevoir".
"Nous avons une longue histoire depuis le congrès d'Epinay" (1971), a relevé celui qui fut de la fondation du PS avec François Mitterrand.
Un repas champêtre de quelque 500 convives a suivi, M. Montebourg devant s'exprimer dans la journée.
Accueilli par Arnaud Montebourg (PS), ordonnateur de la Fête de la Rose dans cette commune bourguignonne, le sénateur de Belfort, qui avait été très sévère sur le processus des primaires, a affirmé: "Je crains que s'il n'y a pas un accord minimal au départ, ce soit une machine à opérer en quelque sorte des désistements automatiques".
Le député socialiste est pour sa part un ardent partisan des primaires dont il a défendu l'idée au PS.
"Il s'agit de mettre la gauche à la hauteur, de bâtir l'équation de la réussite et par conséquent de faire bouger les lignes", a affirmé M. Chevènement, qui juge nécessaire de "parler du fond, du projet".
"C'est la rentrée politique. Un discours de vérité, un discours sur la réussite de la gauche en 2012 ne peut pas faire de mal".
Participera-t-il aux primaires socialistes? "Ca, c'est une autre affaire. Les primaires, ça implique un accord minimal. On va parler du fond", a assuré l'ancien ministre.
Rappelant qu'il avait été pendant 29 ans membre du Parti socialiste, où il a créé et animé le courant Ceres, M. Chevènement, venu "sous l'amicale pression d'Arnaud Montebourg", a ensuite déclaré, en signant le livre d'or de la mairie: "L'essentiel est de réussir. Nous n'avons pas le droit de décevoir".
"Nous avons une longue histoire depuis le congrès d'Epinay" (1971), a relevé celui qui fut de la fondation du PS avec François Mitterrand.
Un repas champêtre de quelque 500 convives a suivi, M. Montebourg devant s'exprimer dans la journée.