"L'impasse de la monnaie unique éclate au grand jour" après les déboires financiers de la Grèce a affirmé vendredi Jean-Pierre Chevènement, président du MRC, pour qui le sommet de Bruxelles "a accouché d'une fausse solidarité" entre les nations.
"L'impasse de la monnaie unique éclate au grand jour, non seulement la zone euro est une zone économique hétérogène, mais l'Europe, à la différence des Etats-Unis, est composée de nations enracinées dans l'Histoire, qu'il est absurde de vouloir nier", a déclaré M. Chevènement dans un communiqué.
Les dirigeants de l'Union européenne sont parvenus jeudi à Bruxelles un accord sur un plan d'aide à la Grèce financé par la zone euro et le FMI, un mécanisme inédit depuis le lancement de la monnaie commune il y a onze ans. Selon M. Chevènement, "le sommet européen de Bruxelles a accouché d'un monstre : une fausse solidarité adossée à l'intervention du FMI et à une communauté de sanctions".
"Il est temps de reprendre l'ouvrage sur des bases nouvelles et de repenser ce que peut être la solidarité entre les nations européennes", a-t-il ajouté.
L'ancien ministre a fait valoir qu'"il aurait fallu une monnaie commune réservée aux transactions internationales et non une monnaie unique trop rigide".
"L'impasse de la monnaie unique éclate au grand jour, non seulement la zone euro est une zone économique hétérogène, mais l'Europe, à la différence des Etats-Unis, est composée de nations enracinées dans l'Histoire, qu'il est absurde de vouloir nier", a déclaré M. Chevènement dans un communiqué.
Les dirigeants de l'Union européenne sont parvenus jeudi à Bruxelles un accord sur un plan d'aide à la Grèce financé par la zone euro et le FMI, un mécanisme inédit depuis le lancement de la monnaie commune il y a onze ans. Selon M. Chevènement, "le sommet européen de Bruxelles a accouché d'un monstre : une fausse solidarité adossée à l'intervention du FMI et à une communauté de sanctions".
"Il est temps de reprendre l'ouvrage sur des bases nouvelles et de repenser ce que peut être la solidarité entre les nations européennes", a-t-il ajouté.
L'ancien ministre a fait valoir qu'"il aurait fallu une monnaie commune réservée aux transactions internationales et non une monnaie unique trop rigide".