Jean-Pierre Chevènement, candidat à la présidentielle, a ironisé jeudi sur les relations compliquées entre les prétendants socialiste et écologiste, François Hollande et la "fée verte" Eva Joly.
"Je souhaiterais que la fée verte continue d'inspirer Verlaine et pas François Hollande", a dit M. Chevènement à la presse à Toulouse.
Il faisait référence à l'absinthe, aussi appelée "fée verte", dans laquelle de grands artistes comme le poète Paul Verlaine cherchaient l'inspiration au 19ème siècle.
Le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) et sénateur du Territoire de Belfort n'a pas été tendre avec l'accord récemment conclu entre le PS et Europe écologie - les Verts pour 2012.
"Quand je lis le texte de l'accord PS-Verts, je sursaute sur beaucoup de points, par exemple l'européanisation du siège permanent de la France à l'Onu; ça ne tient pas debout", a-t-il dit.
Néanmoins, "quel que soit le je ne sais qui" auquel François Hollande serait opposé au second tour de la présidentielle, M. Chevènement votera Hollande s'il est bien au second tour. "Mais j'aimerais que, si c'était moi, Hollande aussi me soutienne", a-t-il ajouté.
Interrogé sur la possibilité qu'il retire sa candidature au profit du candidat socialiste, M. Chevènement a rappelé avoir dit qu'il était "candidat pour faire bouger les lignes. Pour le moment, elles bougent, mais pas dans le bon sens. Donc il faudra redresser tout cela, je le dis en toute amitié".
Dans l'éventualité où les "lignes" bougeraient à sa convenance à gauche, il a rappelé qu'il avait retiré sa candidature à la présidentielle de 2007 "sur la base d'un accord politique".
M. Chevènement dit avoir recueilli presque 300 signatures pour sa candidature.
"Je souhaiterais que la fée verte continue d'inspirer Verlaine et pas François Hollande", a dit M. Chevènement à la presse à Toulouse.
Il faisait référence à l'absinthe, aussi appelée "fée verte", dans laquelle de grands artistes comme le poète Paul Verlaine cherchaient l'inspiration au 19ème siècle.
Le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) et sénateur du Territoire de Belfort n'a pas été tendre avec l'accord récemment conclu entre le PS et Europe écologie - les Verts pour 2012.
"Quand je lis le texte de l'accord PS-Verts, je sursaute sur beaucoup de points, par exemple l'européanisation du siège permanent de la France à l'Onu; ça ne tient pas debout", a-t-il dit.
Néanmoins, "quel que soit le je ne sais qui" auquel François Hollande serait opposé au second tour de la présidentielle, M. Chevènement votera Hollande s'il est bien au second tour. "Mais j'aimerais que, si c'était moi, Hollande aussi me soutienne", a-t-il ajouté.
Interrogé sur la possibilité qu'il retire sa candidature au profit du candidat socialiste, M. Chevènement a rappelé avoir dit qu'il était "candidat pour faire bouger les lignes. Pour le moment, elles bougent, mais pas dans le bon sens. Donc il faudra redresser tout cela, je le dis en toute amitié".
Dans l'éventualité où les "lignes" bougeraient à sa convenance à gauche, il a rappelé qu'il avait retiré sa candidature à la présidentielle de 2007 "sur la base d'un accord politique".
M. Chevènement dit avoir recueilli presque 300 signatures pour sa candidature.