Le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) Jean-Pierre Chevènement va publier dimanche une "brochure intitulée 'Pourquoi je serai candidat'", dans laquelle il présente "les grandes orientations de sa candidature", a-t-il annoncé vendredi dans un communiqué.
M. Chevènement expliquera "les grandes orientations de sa candidature et les tâches qui attendent le prochain président de la République" dans cette brochure de 24 pages, qu'il publiera dimanche sur son blog et qui est déjà disponible sur le site d'informations en ligne Rue89.
"Redresser l'Europe et la remettre sur la voie de la prospérité par une révision profonde du fonctionnement de la zone euro, fondée sur un dialogue avec l'Allemagne allant au coeur des choses", est le premier axe de l'ancien ministre.
Il ajoute: "Nous devons continuer ensemble notre Histoire si nous voulons éviter de 'sortir de l'Histoire', chacun de son côté", puis précise dans sa brochure: "l'Europe ne doit pas être écrasée dans les pinces de la 'Chinamérique', cette alliance conflictuelle mais objective de l'Hyperpuissance d'hier et de la Superpuissance de demain".
Deuxième priorité, "développer une politique industrielle et énergétique valorisant les atouts de la France". M. Chevènement explique notamment dans sa brochure que la leçon à tirer de l'accident de Fukushima est "la nécessité de maintenir l'industrie nucléaire dans le giron de la puissance publique pour le soustraire à une logique de rentabilité à courte vue".
Enfin, il faut "fixer à notre pays dans l'ordre intérieur comme dans l'ordre international un cap républicain ambitieux, véritable logiciel de reconquête de son avenir par la France", estime-t-il.
Jugeant que "la France est mal partie", M. Chevènement considère "essentiel que la France redevienne une grande nation politique (...) pour éclairer le chemin de l’Humanité".
"C'est cette foi hors du commun qu'on attend du prochain président de la République française", assure-t-il.
Le président d'honneur du MRC a plusieurs fois évoqué l'hypothèse de sa candidature à l'élection présidentielle en 2012, mais il a aussi déclaré le 15 juin qu'il n'excluait pas de se rallier à un candidat PS en cas d'accord programmatique avant le scrutin.
M. Chevènement expliquera "les grandes orientations de sa candidature et les tâches qui attendent le prochain président de la République" dans cette brochure de 24 pages, qu'il publiera dimanche sur son blog et qui est déjà disponible sur le site d'informations en ligne Rue89.
"Redresser l'Europe et la remettre sur la voie de la prospérité par une révision profonde du fonctionnement de la zone euro, fondée sur un dialogue avec l'Allemagne allant au coeur des choses", est le premier axe de l'ancien ministre.
Il ajoute: "Nous devons continuer ensemble notre Histoire si nous voulons éviter de 'sortir de l'Histoire', chacun de son côté", puis précise dans sa brochure: "l'Europe ne doit pas être écrasée dans les pinces de la 'Chinamérique', cette alliance conflictuelle mais objective de l'Hyperpuissance d'hier et de la Superpuissance de demain".
Deuxième priorité, "développer une politique industrielle et énergétique valorisant les atouts de la France". M. Chevènement explique notamment dans sa brochure que la leçon à tirer de l'accident de Fukushima est "la nécessité de maintenir l'industrie nucléaire dans le giron de la puissance publique pour le soustraire à une logique de rentabilité à courte vue".
Enfin, il faut "fixer à notre pays dans l'ordre intérieur comme dans l'ordre international un cap républicain ambitieux, véritable logiciel de reconquête de son avenir par la France", estime-t-il.
Jugeant que "la France est mal partie", M. Chevènement considère "essentiel que la France redevienne une grande nation politique (...) pour éclairer le chemin de l’Humanité".
"C'est cette foi hors du commun qu'on attend du prochain président de la République française", assure-t-il.
Le président d'honneur du MRC a plusieurs fois évoqué l'hypothèse de sa candidature à l'élection présidentielle en 2012, mais il a aussi déclaré le 15 juin qu'il n'excluait pas de se rallier à un candidat PS en cas d'accord programmatique avant le scrutin.