Jean-Pierre Chevènement (MRC) a proposé dimanche la création "d'un grand parti de toute la gauche et l'organisation en 2011 de primaires ouvertes à tous les militants et sympathisants pour désigner le candidat de la gauche à la prochaine présidentielle".
Dans un communiqué, le sénateur du Territoire de Belfort a estimé à propos du PS, dont il anima jadis l'aile gauche avec le CERES, que "plus que jamais, ce parti apparaît en bout de course".
"Seul un électrochoc pourrait remettre la gauche à la hauteur des événements", a-t-il ajouté, affirmant que le "congrès de Reims s'est terminé sans que le Parti socialiste se soit saisi des enjeux de la crise pour le monde du travail et pour la France".
La seule motion qui trouve grâce à ses yeux est celle de Benoît Hamon, les autres, selon lui, "restant fixées sur les choix qui depuis tant d'années ont détourné du PS les couches populaires".
Dans un communiqué, le sénateur du Territoire de Belfort a estimé à propos du PS, dont il anima jadis l'aile gauche avec le CERES, que "plus que jamais, ce parti apparaît en bout de course".
"Seul un électrochoc pourrait remettre la gauche à la hauteur des événements", a-t-il ajouté, affirmant que le "congrès de Reims s'est terminé sans que le Parti socialiste se soit saisi des enjeux de la crise pour le monde du travail et pour la France".
La seule motion qui trouve grâce à ses yeux est celle de Benoît Hamon, les autres, selon lui, "restant fixées sur les choix qui depuis tant d'années ont détourné du PS les couches populaires".