Le président d'honneur du MRC, Jean-Pierre Chevènement, a indiqué vendredi envisager "sérieusement" d'être candidat à la présidentielle car selon lui il n'y a "personne aujourd'hui entre Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss-Kahn" pour incarner "l'alternative".
"Je l'envisage, parce que très sincèrement je ne vois personne aujourd'hui entre Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss-Kahn qui puisse être véritablement le candidat de l'alternative, donc j'y réfléchis et sérieusement", a déclaré M. Chevènement, interrogé sur LCI sur une éventuelle candidature en 2012. Il a précisé qu'il prendrait sa décision "avant l'automne".
"Je pense que la gauche peut gagner mais risque de décevoir, ce que je ne souhaite, et je voudrais la mettre au niveau, à la hauteur des défis", a expliqué le sénateur de Belfort.
L'ancien ministre socialiste a écarté un soutien à Jean-Luc Mélenchon qui ambitionne d'être le candidat du Front de gauche. "Mélenchon cherche à constituer un pôle de radicalité à gauche, ça n'est pas mon cas", a-t-il expliqué. "Moi je m'adresse à tous les Français et je reste fidèle à ce que je disais en 2002: ce qui est nécessaire à la France c'est un candidat qui soit l'homme de la Nation".
M. Chevènement s'était présenté à la présidentielle de 2002 où l'émiettement de la gauche au 1er tour avait contribué à l'élimination du candidat du PS Lionel Jospin, devancé contre toute attente par le président du FN Jean-Marie Le Pen.
Quant à participer aux primaires présidentielles du PS pour 2012, le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen a lancé : "C'est une plaisanterie" car "Madame Aubry attend que M. Dominique Strauss-Kahn se décide, et à partir de là les jeux seront faits".
"Je l'envisage, parce que très sincèrement je ne vois personne aujourd'hui entre Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss-Kahn qui puisse être véritablement le candidat de l'alternative, donc j'y réfléchis et sérieusement", a déclaré M. Chevènement, interrogé sur LCI sur une éventuelle candidature en 2012. Il a précisé qu'il prendrait sa décision "avant l'automne".
"Je pense que la gauche peut gagner mais risque de décevoir, ce que je ne souhaite, et je voudrais la mettre au niveau, à la hauteur des défis", a expliqué le sénateur de Belfort.
L'ancien ministre socialiste a écarté un soutien à Jean-Luc Mélenchon qui ambitionne d'être le candidat du Front de gauche. "Mélenchon cherche à constituer un pôle de radicalité à gauche, ça n'est pas mon cas", a-t-il expliqué. "Moi je m'adresse à tous les Français et je reste fidèle à ce que je disais en 2002: ce qui est nécessaire à la France c'est un candidat qui soit l'homme de la Nation".
M. Chevènement s'était présenté à la présidentielle de 2002 où l'émiettement de la gauche au 1er tour avait contribué à l'élimination du candidat du PS Lionel Jospin, devancé contre toute attente par le président du FN Jean-Marie Le Pen.
Quant à participer aux primaires présidentielles du PS pour 2012, le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen a lancé : "C'est une plaisanterie" car "Madame Aubry attend que M. Dominique Strauss-Kahn se décide, et à partir de là les jeux seront faits".