Madame Merkel, dans une interview au Monde des 14 et 15 janvier, demande qu’« on tienne l’euro en dehors du débat politique ». Elle souhaite qu’on s’inspire de l’exemple allemand : « Notre croissance aujourd’hui tient à ce que nous avons fait passer des réformes très difficiles. Nous avons transformé notre marché du travail. Beaucoup d’entreprises se sont restructurées. Pendant des années des gens ont renoncé à des argumentations de revenus, les négociations salariales ont été très raisonnables pour renforcer la compétitivité de l’économie. Face à la mondialisation, on ne peut échapper à cette voie ».
Nous connaissons ce discours. Mme Merkel ajoute : « Avec l’UMP, nous sommes dans la même famille politique. Je connais bien Nicolas Sarkozy et nous nous soutiendrons peut-être en campagne électorale, c’est évident. »
Cela va sans dire, mais cela va même mieux en le disant !
Nous connaissons ce discours. Mme Merkel ajoute : « Avec l’UMP, nous sommes dans la même famille politique. Je connais bien Nicolas Sarkozy et nous nous soutiendrons peut-être en campagne électorale, c’est évident. »
Cela va sans dire, mais cela va même mieux en le disant !