Jean-Pierre Chevènement, candidat à la présidentielle et président d'honneur du MRC, a exprimé samedi auprès de l'AFP, ses "très fortes inquiétudes" à propos de l'accord conclu entre le PS et Europe Ecologie-Les Verts (EELV) pour 2012.
Cet accord prévoit notamment "un siège européen" comme membre permament du Conseil de sécurité des Nations Unies. Les cinq membres permanents sont Les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Chine et la Russie.
"J'exprime de très fortes inquiétudes après avoir lu le texte de l'accord PS-EELV", a-t-il déclaré en expliquant que ces "inquiétudes ne concernaient pas seulement l'aspect nucléaire civil, à (ses) yeux totalement irréaliste, mais aussi le siège européen qui ne peut que procéder d'une européanisation du siège de la France de membre permanent au conseil de sécurité de l'Onu".
Cet accord prévoit notamment "un siège européen" comme membre permament du Conseil de sécurité des Nations Unies. Les cinq membres permanents sont Les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Chine et la Russie.
"J'exprime de très fortes inquiétudes après avoir lu le texte de l'accord PS-EELV", a-t-il déclaré en expliquant que ces "inquiétudes ne concernaient pas seulement l'aspect nucléaire civil, à (ses) yeux totalement irréaliste, mais aussi le siège européen qui ne peut que procéder d'une européanisation du siège de la France de membre permanent au conseil de sécurité de l'Onu".
M. Chevènement a dénoncé en outre la suppression du droit de veto, prévu dans l'accord PS/EELV.
Le candidat s'est inquiété également "de l'avenir de notre dissuation nucléaire et de la décision de ratifier la charte des langues régionales et minoritaires" qui déboucherait, selon lui, sur "la co-officialité de plus de 70 langues sur le territoire national".
"J'ai l'impression, a conclu M. Chevènement, que le parti socialiste, depuis une dizaine d'années, n'a rien appris et rien oublié".
Le candidat s'est inquiété également "de l'avenir de notre dissuation nucléaire et de la décision de ratifier la charte des langues régionales et minoritaires" qui déboucherait, selon lui, sur "la co-officialité de plus de 70 langues sur le territoire national".
"J'ai l'impression, a conclu M. Chevènement, que le parti socialiste, depuis une dizaine d'années, n'a rien appris et rien oublié".