L'ancien ministre et président de République moderne, Jean-Pierre Chevènement, a appelé lundi à la formation "dans les temps qui viennent" d'"un gouvernement de salut public", tout en appelant d'abord à "partout faire barrage au Front national".
"Aucun des partis de gouvernement ne peut s'exonérer d'un examen de conscience approfondi", a estimé l'ancien ministre dans un communiqué au lendemain de la percée historique du Front national au premier tour des élections régionales.
"Il va falloir redresser le cap et ne pas renouveler les erreurs", a-t-il poursuivi à l'adresse de ces "partis de gouvernement".
Jugeant "raisonnable" le choix du PS de retirer ses listes dans trois régions, il a appelé à "voter au second tour pour les listes de gauche dans les régions où celle-ci peut encore l'emporter et à faire partout barrage au Front National".
Pour lui, "l'essentiel désormais est dans le changement de logiciel de la politique gouvernementale". "Il est temps de réfléchir à ce que peut être, dans les temps qui viennent et en tous domaines, un gouvernement de salut public", a-t-il conclu.
"Aucun des partis de gouvernement ne peut s'exonérer d'un examen de conscience approfondi", a estimé l'ancien ministre dans un communiqué au lendemain de la percée historique du Front national au premier tour des élections régionales.
"Il va falloir redresser le cap et ne pas renouveler les erreurs", a-t-il poursuivi à l'adresse de ces "partis de gouvernement".
Jugeant "raisonnable" le choix du PS de retirer ses listes dans trois régions, il a appelé à "voter au second tour pour les listes de gauche dans les régions où celle-ci peut encore l'emporter et à faire partout barrage au Front National".
Pour lui, "l'essentiel désormais est dans le changement de logiciel de la politique gouvernementale". "Il est temps de réfléchir à ce que peut être, dans les temps qui viennent et en tous domaines, un gouvernement de salut public", a-t-il conclu.