Deux amendements, l'un d'origine PS, l'autre UMP, visaient à introduire dans le texte du traité de Lisbonne la Charte européenne des langues régionales et minoritaires. On voit bien où ses parlementaires veulent nous conduire : vers la co-officialité du français et de telle ou telle langue régionale ou minoritaire.
Délié du traité de Lisbonne, l'examen de l'adhésion de la France à la Charte européenne des langues régionales et minoritaires a finalement été renvoyé à après les municipales, mais ce sont toujours les mêmes forces que l'on voit à l'oeuvre en faveur de la fragmentation de l'espace républicain et de la dissolution de la nation française.
Délié du traité de Lisbonne, l'examen de l'adhésion de la France à la Charte européenne des langues régionales et minoritaires a finalement été renvoyé à après les municipales, mais ce sont toujours les mêmes forces que l'on voit à l'oeuvre en faveur de la fragmentation de l'espace républicain et de la dissolution de la nation française.