Dépêche AFP, mercredi 22 septembre 2010, 17h46.


Algérie: le président Bouteflika reçoit Jean-Pierre Chevènement
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a reçu mercerdi à Alger le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) et sénateur français Jean-Pierre Chevènement, en visite depuis dimanche en Algérie, a indiqué l'agence de presse APS.

"Je pense que l'entretien que j'ai eu avec le président Abdelaziz Bouteflika contribue à maintenir et à fortifier le lien qui existe entre l'Algérie et la France et qui est tellement important", a déclaré M. Chevènement à la presse à l'issue de cette rencontre.

"Il faut veiller sur cette plante (lien, ndlr) précieuse, en créant tant que l'on peut des contacts amicaux", a-t-il ajouté.

Il a indiqué avoir évoqué avec le président Bouteflika les problèmes internationaux et la vie politique en général. M. Chevènement a précisé qu'il entretenait une "relation personnelle ancienne" avec le président algérien.

Durant son séjour, M. Chevènement a donné deux conférences à Oran et à Alger sur le thème "République, laïcité et religion".
Mots-clés : algérie bouteflika

Rédigé par Chevenement.fr le 22 Septembre 2010 à 22:18 | Permalien | Commentaires (2)

Carnet de Jean-Pierre Chevènement



Contrairement aux informations publiées dans la presse, je tiens à préciser que la rencontre entre une délégation du MRC et Martine Aubry, prévue de longue date pour le 15 septembre a été annulée deux heures avant l’heure fixée, à la demande du Parti Socialiste.


Il est regrettable qu’une discussion de fond ne puisse pas s’engager sur l’analyse de la crise, notamment sur la crise de l’euro, et sur le redressement, au service de la croissance et de l’emploi, d’une construction européenne qui s’est faite jusqu’ici sans les nations, voire contre elles.

De cette révision de fond dépend pourtant une vraie réussite de la gauche après 2012.

Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 16 Septembre 2010 à 17:23 | Permalien | Commentaires (3)

Poursuite du programme de colloques de la Fondation Res Publica lundi 13 septembre 2010 à 18h à la Maison de la Chimie (28, rue Saint Dominique 75007 Paris). En voici le programme ci-dessous.


Colloque de la Fondation Res Publica: Quelle université française pour demain ?
Avec la participation de :
  • Axel Kahn, président de l’Université Descartes Paris-V
  • Yves Lichtenberger, ancien président de l’Université de Marne-la-Vallée et du Pôle recherche enseignement supérieur (PRES) Paris-Est
  • Bernard Ramanantsoa, directeur général du groupe HEC
  • Ronan Stephan, directeur général de la recherche et de l’innovation au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche
  • Ghislaine Filliatreau, directrice de l’Observatoire des sciences et des techniques
  • Conclusion de Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica

    Inscrivez-vous à l'adresse électronique info@fondation-res-publica.org (Merci de préciser vos nom et coordonnées complètes). Pour consulter les travaux de la Fondation Res Publica, fondation reconnue d'utilité publique par décret du 30 décembre 2005, une seule adresse : www.fondation-res-publica.org.

Rédigé par Chevenement.fr le 10 Septembre 2010 à 12:02 | Permalien | Commentaires (0)

Jean-Pierre Chevènement répondait aux questions de Michel Field.



Rédigé par Chevenement.fr le 8 Septembre 2010 à 22:23 | Permalien | Commentaires (2)

Il répondra aux questions de Michel Field. L'émission sera podcastée sur le blog.


Jean-Pierre Chevènement invité de Oui/Non sur LCI mercredi 8 septembre à 18h30
L'émission est rediffusée à 21h30.
Voir en ligne sur le site de LCI ou sur le blog.
Mots-clés : lci

Rédigé par Chevenement.fr le 7 Septembre 2010 à 17:11 | Permalien | Commentaires (0)

Intervention du sénateur Jean-Pierre Chevènement lors du débat sur le projet de loi sur l’orientation et la programmation de la sécurité intérieure, 7 septembre 2010.


Vers une privatisation de la sécurité publique
Monsieur le Ministre,

Sur ces questions difficiles d’insécurité qui préoccupent à juste titre nos concitoyens, je suis soucieux de garder un ton mesuré.

Vous nous présentez un projet de loi d’orientation et de programmation dont les dispositions sont quelque peu fourre-tout.

Certes, l’article 1 du projet a pour but d’approuver un rapport annexé sur les objectifs et les moyens de la police, de la gendarmerie et de la sécurité civile, à l’horizon 2013, et la plupart des objectifs affichés ne sont guère contestables. Qui pourrait en effet s’opposer à l’utilisation de technologies nouvelles au service de la sécurité de nos concitoyens ?

Je pense qu’il faut relativiser la controverse sur la vidéoprotection : celle-ci, de par mon expérience, a montré une certaine efficacité pour pacifier, par exemple, des halls d’immeubles devenus infréquentables, mais je ne sais pas à quoi correspond l’objectif de tripler d’ici 2013 le nombre des caméras de 20 000 à 60 000. Le manque d’indépendance des organes de contrôle de la vidéosurveillance n’est pas satisfaisant, comme l’a fait observer ma collègue, Madame Anne-Marie Escoffier.

Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 7 Septembre 2010 à 17:00 | Permalien | Commentaires (0)

Il répondait aux questions d'Hedwige Chevrillon pendant 30 minutes


Jean-Pierre Chevènement invité de BFM Radio à 12h30 lundi 6 septembre
L'émission est podcastée sur le blog ci-dessous.

Intervention de Jean-Pierre Chevènement (introduction au débat avec François Hollande) lors de l'université d’été du MRC, Valence, le 5 septembre 2010.


Pour devenir Président de la République française, il faut s’identifier pleinement à la France
Je suis heureux, en conclusion de notre Université d’été, de pouvoir ouvrir le débat avec François Hollande avec lequel j’ai toujours entretenu des relations amicales et sympathiques, et qui n’est pas seulement un homme politique expérimenté et avisé, étant donné les responsabilités qu’il a exercées durant dix ans à la tête du parti socialiste, mais un homme qui réfléchit et qui, sans céder sur ses fondamentaux réformistes, peut procéder à des inventaires qui conditionnent l’avenir, parce qu’il permettent de bouger et d’évoluer.

Or, la gauche pour gagner vraiment, c’est-à-dire pour réussir, doit bouger impérativement. Il faut faire « bouger les lignes » ; telle a été la conclusion de notre dernier Congrès, les 26 et 27 juin derniers.

Nous avons, François Hollande et moi, des points d’accord, par exemple la nécessité d’une réforme de la fiscalité des revenus fusionnant l’IRPP et la CSG de façon à associer justement tous les Français à l’effort nécessaire, si nous voulons non seulement réduire les déficits, mais marquer nos priorités dans le domaine de l’éducation notamment et de la jeunesse. Nous avons - ou en tout cas nous avons eu – des points de désaccord, notamment sur l’Europe et par conséquent sur la nation, et par conséquent sur l’indépendance nationale sans laquelle on ne peut exercer les effets de levier nécessaires.

François Hollande a affirmé une haute ambition parfaitement légitime : celle de devenir Président de la République en 2012. Il m’est arrivé de dire qu’on ne naissait pas homme d’Etat mais qu’on pouvait le devenir. Simplement, pour devenir Président de la République française, il faut aussi s’identifier pleinement à la France. Le moment d’un débat de fond est venu. J’aurais souhaité qu’il puisse être abordé dans une autre configuration, avec la constitution, au lendemain de la présidentielle de 2007, d’un grand parti de toute la gauche. Cette ambition que nous avions faite nôtre à notre Congrès du Kremlin-Bicêtre de 2008 s’est heurtée au conservatisme des structures politiques de la gauche. Je l’ai regretté. Nous abordons donc l’échéance de 2012 en ordre dispersé. Ce peut être un avantage si le débat permet de faire bouger les lignes.
1 ... « 150 151 152 153 154 155 156 » ... 269


Derniers tweets

Abonnez-vous à la newsletter








Mots-clés des 30 derniers jours