Il est regrettable qu’une discussion de fond ne puisse pas s’engager sur l’analyse de la crise, notamment sur la crise de l’euro, et sur le redressement, au service de la croissance et de l’emploi, d’une construction européenne qui s’est faite jusqu’ici sans les nations, voire contre elles.
De cette révision de fond dépend pourtant une vraie réussite de la gauche après 2012.
De cette révision de fond dépend pourtant une vraie réussite de la gauche après 2012.