ActualitésColloque du mardi 6 mai, de 18h à 20h30 à la Maison de la Chimie.
Avec les interventions de :
- Jean-Yves Autexier, vice-président de la Fondation Res Publica, ancien parlementaire et conseiller auprès de Jean-Pierre Chevènement au ministère de l'Intérieur (1997-2000) ; - Michel Aubouin, ancien préfet et inspecteur général de l’administration, ancien directeur du ministère de l’Intérieur en charge de l’intégration des étrangers et des naturalisations, auteur, notamment, de 40 ans dans les cités (Presses de la Cité, 2019) et Le Défi d’être français (Presses de la Cité, 2023) ; - et Natacha Polony, journaliste et essayiste, auteur, notamment, de Chroniques du "rien n'est perdu" (Éditions de l'Observatoire, 2023).
Rédigé par Jean-Pierre Chevènement le 24 Avril 2025 à 18:59
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Carnet de Jean-Pierre Chevènement
Colloque du mercredi 26 mars, de 18h à 20h30 à la Maison de la Chimie.
Avec les interventions de :
- Pierre Lellouche, ancien secrétaire d’État chargé des Affaires européennes, ancien président de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN, ancien député, auteur de Engrenages (Odile Jacob, 2024) ; - Thierry de Montbrial, président fondateur de l’Institut français de relations internationales, président de la World Policy Conference, auteur, récemment, de L'ère des affrontements : Les grands tournants géopolitiques (Dunod, 2025) ; - et Jean de Gliniasty, ancien ambassadeur de France à Moscou (2009-2013), directeur de recherche à l’Iris, auteur, notamment, de La Russie, un nouvel échiquier (Eyrolles, 2022) et de France, une diplomatie déboussolée (L'inventaire, 2024).
Avec Jean-Louis Debré disparaît l'un des derniers gaullistes authentiques et un homme à l'ancrage républicain constamment réaffirmé. J'assure sa famille, ses amis et ses proches de la part que je prends à leur chagrin.
Entretien de Jean-Pierre Chevènement au "Figaro", propos recueillis par Martin Bernier, mercredi 5 février 2025.
Hommage de Jean-Pierre Chevènement
Avec Jean-François Kahn, disparaît un homme exceptionnellement brillant et courageux. Éloigné de tout conformisme, il a été un précurseur, s’agissant notamment des questions internationales et des ravages du néolibéralisme. Sa vision de l’Europe pouvait prêter à discussion, mais elle mettait en relief ce qui était sa plus grande originalité : son refus de l’arbitraire, du conservatisme borné et aligné sur les grandes orientations de la diplomatie américaine. Jean-François Kahn manquera à tous les républicains de combat et à tous les esprits libres, soucieux de dépasser des clivages qui n’apportent rien à la compréhension de notre temps. Sa mort nous fait ressentir la nécessité d’une réflexion et d’un engagement aux antipodes de la pensée unique.
Source : Marianne |
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