Jean-Pierre Chevènement, candidat MRC à l'Elysée, a estimé mercredi que son concurrent socialiste François Hollande devait "s'affirmer comme un homme d'Etat" s'il voulait gagner l'élection présidentielle de 2012.
"Il faut que François Hollande prenne toute sa dimension et échappe, d'une certaine manière, au projet socialiste, aux accords PS-Verts, qu'il s'affirme comme un homme d'Etat", a lancé l'ancien ministre sur BFMTV-RMC.
Selon M. Chevènement, "c'est cela qui peut le faire gagner" mais "pour y parvenir, il faut qu'il fasse encore beaucoup de chemin".
Interrogé sur sa course aux parrainages d'élus pour pouvoir se présenter à l'élection, M. Chevènement, déjà candidat en 2002, affirme être à "la moitié de ce qui (lui) sera nécessaire", soit environ 250 promesses de signatures sur les 500 requises.
M. Chevènement, à qui Lionel Jospin a imputé une partie de son échec en 2002, a par ailleurs expliqué qu'il était candidat dans le "but de faire bouger les lignes" et prôné un "protectionnisme européen", notamment pour faire baisser le niveau de la monnaie européenne, à son sens surévaluée par rapport au dollar.
"Il faut que François Hollande prenne toute sa dimension et échappe, d'une certaine manière, au projet socialiste, aux accords PS-Verts, qu'il s'affirme comme un homme d'Etat", a lancé l'ancien ministre sur BFMTV-RMC.
Selon M. Chevènement, "c'est cela qui peut le faire gagner" mais "pour y parvenir, il faut qu'il fasse encore beaucoup de chemin".
Interrogé sur sa course aux parrainages d'élus pour pouvoir se présenter à l'élection, M. Chevènement, déjà candidat en 2002, affirme être à "la moitié de ce qui (lui) sera nécessaire", soit environ 250 promesses de signatures sur les 500 requises.
M. Chevènement, à qui Lionel Jospin a imputé une partie de son échec en 2002, a par ailleurs expliqué qu'il était candidat dans le "but de faire bouger les lignes" et prôné un "protectionnisme européen", notamment pour faire baisser le niveau de la monnaie européenne, à son sens surévaluée par rapport au dollar.