La sécurité devient à nouveau un thème majeur de la campagne présidentielle. Quel plus terrible aveu de la démagogie de ceux qui il y a cinq ans prétendaient régler le problème avec des coups de menton !
La vérité c’est que la question de la sécurité doit être abordée sans arrogance ni naïveté. Je n’ai pas perdu le souvenir de la levée de boucliers qui avait suivi l’évocation par moi-même des « sauvageons ». Je n’avais pourtant pas choisi par hasard cette expression qui par son sens même (le sauvageon est, à l’origine, un arbre non greffé), liait la sécurité et l’éducation.
Sauvageon versus racaille : voilà la différence entre une politique de gauche et une politique de droite en matière de sécurité. Elle n’est pas mince.
La vérité c’est que la question de la sécurité doit être abordée sans arrogance ni naïveté. Je n’ai pas perdu le souvenir de la levée de boucliers qui avait suivi l’évocation par moi-même des « sauvageons ». Je n’avais pourtant pas choisi par hasard cette expression qui par son sens même (le sauvageon est, à l’origine, un arbre non greffé), liait la sécurité et l’éducation.
Sauvageon versus racaille : voilà la différence entre une politique de gauche et une politique de droite en matière de sécurité. Elle n’est pas mince.