J’apprends, non sans effarement, que l’Assemblée de Corse demande l’inscription du mot « Corse » dans la Constitution.
Deux hypothèses sont à envisager :
Première hypothèse, il s’agit de faire passer des revendications inconstitutionnelles, telle la coofficialité du corse et du français pour couvrir une politique d’exclusion de l’emploi au détriment des continentaux, ou bien de geler le corps électoral à la mode calédonienne, ou bien encore de réserver l’appropriation du foncier aux autochtones, ou bien enfin de déléguer une compétence législative à la Corse.
Le référendum de 2003 a clairement écarté tout ce qui pouvait séparer le destin de la Corse de celui de la France.
Deuxième hypothèse, certains veulent nous faire croire que l’inscription du mot « Corse » dans la Constitution n’aurait qu’une portée purement symbolique. A quoi alors rimerait-elle ? Il faut donc l’écarter. Sinon pourquoi ne pas inscrire le Territoire de Belfort dans la Constitution ?
Deux hypothèses sont à envisager :
Première hypothèse, il s’agit de faire passer des revendications inconstitutionnelles, telle la coofficialité du corse et du français pour couvrir une politique d’exclusion de l’emploi au détriment des continentaux, ou bien de geler le corps électoral à la mode calédonienne, ou bien encore de réserver l’appropriation du foncier aux autochtones, ou bien enfin de déléguer une compétence législative à la Corse.
Le référendum de 2003 a clairement écarté tout ce qui pouvait séparer le destin de la Corse de celui de la France.
Deuxième hypothèse, certains veulent nous faire croire que l’inscription du mot « Corse » dans la Constitution n’aurait qu’une portée purement symbolique. A quoi alors rimerait-elle ? Il faut donc l’écarter. Sinon pourquoi ne pas inscrire le Territoire de Belfort dans la Constitution ?